mercredi 30 janvier 2008

COUP COEUR / COUP DE GUEULE


Sandrine Bonnaire. Un regard intime sur l’autisme

L’actrice Sandrine Bonnaire passe derrière la caméra et signe un film intime et engagé sur sa sœur Sabine, atteinte d’une forme d’autisme.

Quarante ans, fraîche et sans maquillage, avec accroché aux lèvres, ce célèbre sourire, Sandrine Bonnaire a des allures de mère de famille du quartier qui va chercher ses enfants à l’école. Elle en a deux : Jeanne, 13 ans, fille de l’acteur William Hurt, et Adèle, trois ans, dont le père est le scénariste Guillaume Laurant. Aujourd’hui, c’est sa sœur, Sabine, qui est à l’honneur dans le documentaire très émouvant qu’elle a réalisé sur elle. Primé à Cannes, diffusé en septembre dernier sur France 3, « Elle s’appelle Sabine » a conquis des milliers de spectateurs.

« Nous avons un an d’écart. Avec mes onze frères et sœurs, nous nous suivons tous de près ». Tôt dans l’enfance, Sandrine a compris que Sabine était différente. « Elle avait son monde à elle, ses rituels. Elle se balançait des heures dans le jardin ou répétait tout en boucle. Mais nous l’acceptions telle qu’elle était, avec beaucoup d’amour et de patience, même si, à l’extérieur, on en avait parfois un peu honte. » Sa maladie a été diagnostiquée très tard, en 2001. « Sabine est psycho-infantile, c’est une forme d’autisme. Mais elle peut communiquer, échanger. Elle a su assez vite lire, écrire et compter et, pendant longtemps, elle a vécu la même vie que nous, avec un décalage. Elle jouait du piano, dansait, circulait à mobylette. » Ces joyeux moments-là, Sandrine les avait fixés avec une caméra vidéo. En retrouvant ces films, l’actrice a voulu aller plus loin et témoigner de ce qu’est devenue sa sœur après une hospitalisation de cinq ans en psychiatrie. « A 27 ans, elle n’a pas supporté la mort de mon frère aîné, elle a fait une dépression. Elle se montrait violente. On s’est résolus à l’hospitaliser, on n’avait plus le choix. » Ce seront des années de cauchemar.

« Je n’incrimine personne. C’est la faute de tout un système ». Sa colère reste entière, même si elle s’exprime avec douceur. Sandrine Bonnaire a marrainé les « Journées de l’autisme » avant de passer derrière la caméra. Le film mêle les images d’archives et celles de Sabine aujourd’hui, qui a retrouvé la joie de vivre dans l’unité de soins où elle vit, près d’Angoulême. « Pour ma famille, cela a été un choc de la revoir à vingt ans. Moi-même j’avais la nostalgie de sa beauté. » Sandrine Bonnaire vient d’écrire avec son mari Guillaume Laurant le scénario d’un film de fiction qui se déroule dans un hôpital psychiatrique. Elle y tiendra le premier rôle, celui d’une autiste. « Sabine m’a donné la force de le faire. »« Elle s’appelle Sabine » Le film de Sandrine Bonnaire, qui sort aujourd’hui dans les salles , a décroché à Cannes le Prix Fipreschi de la Critique internationale. L’actrice fera par ailleurs partie du 58 e festival du film de Berlin (7-17 février).
c'est à la fois un coup gueule & un coup coeur : coup coeur le film d'une actrice que j'aprecie qui a je trouve beacoups d'audace de faire un tel film pour denoncer l'état de la spychiatrie en france

samedi 26 janvier 2008

les nommés pour les césars sont.............

Onzes partout
onzes moninations pour la môme onze pour un secret égalité pafaite
a Môme", film réalisé par Olivier Dahan sur la vie d'Edith Piaf, a recueilli onze nominations pour les César, dont celles du meilleur film et de la meilleure actrice pour Marion Cotillard, a annoncé vendredi Jean Rochefort, le président de cette 33ème édition qui aura lieu le 22 février.
Les autres nommés pour le meilleur film sont "La Graine et le mulet" réalisé par Abdellatif Kechiche, "Persépolis" de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud, "Le scaphandre et le papillon" de Julian Schnabel et "Un secret" de Claude Miller.
Pour le meilleur acteur sont en lice: Mathieu Amalric, Michel Blanc, Jean-Pierre Darroussin, Vincent Lindon et Jean-Pierre Marielle.
Pour la meilleure actrice sont en compétition: Isabelle Carré, Marion Cotillard, Cécile de France, Marina Foïs et Catherine Frot.
Mais deçu toute fois que Bruel ne soit pas nommé pour un secret , même pas dans un second rôle

mercredi 23 janvier 2008

SAMEDI SOIR A ................


L'artiste, âgé de 61 ans, a beaucoup bougé pour nourrir son album de sons reggae et soul. Il s'est arrêté dans la capitale libanaise qui donne le titre au disque mais aussi à Kingston en Jamaïque et à Memphis dans le Tennessee, où il a enregistré avec la collaboration de Willie Mitchell, producteur et arrangeur réputé.
La tête au Liban, un pied en Jamaïque et l’autre aux Etats-Unis, Bernard Lavilliers nous propose un nouveau carnet de voyage musical. Ce Samedi soir à Beyrouth a été construit sur une base reggae agrémentée d’influences soul, blues ou orientales. Un disque enregistré dans de mythiques studios de Kingston et de Memphis. Un album sombre et hypnotique marqué par l’ambiance si particulière de la capitale du pays du cèdre
. «Samedi soir à Beyrouth». Comme le vin, le baroudeur se bonifie avec le temps. Pendant près de quarante ans, l'artiste voyageur a posé ses valises dans ces pays qu'il aime, s'en est imprégné. Avec «Samedi soir à Beyrouth», l'éternel rebelle a réussi à marier avec brio le groove jamaïquain à la soul de Memphis. Il évoque toujours les causes premières - droits de l'homme, la guerre, droit au travail -, égratigne «ceux qui prennent et qui amassent, arrachent le temps avec leurs dents», dans «Killer». Coloré, chaloupé, vibrant et puissant, «Samedi soir à Beyrouth» est un excellent cru.

mardi 22 janvier 2008

SIENNE TOSCANE


[c=#ff00ee]hé oui encore une ville de toscane sienne j'adore cette ville que j'ai décoverte au cours de vacances d'enfance
[c=#ff0099]le palio[/c] cette célébre course à lieu tout les seize aout
La célèbre course de chevaux remonte à la fin du XVIe siècle. Le concile de Trente interdit alors les manifestations violentes (chasses aux taureaux, joutes collectives, etc.) qui se déroulaient, à Sienne, sur la place centrale, le Campo. La municipalité choisit alors d'instaurer une course de chevaux dans les rues de la ville.
En 1605, pour améliorer la sécurité des habitants, la course fut déplacée sur le Campo. En même temps, la course se courut désormais non plus entre individus (souvent de riches aristocrates) mais par contrada, à la fois quartier et paroisse de la ville.
Il existe 17 contrade différentes. Chaque course est disputée par 10 chevaux. Les sept contrade exclues participent à la course de l'année suivante. Elle est complétée par trois contrade tirées au sort parmi celles ayant couru l'année précédente. Les chevaux, des demi-sang, sont attribués aux contrade par tirage au sort. La course consiste en trois tours du Campo, ce qui ne prend guère que quelques minutes. Jusqu'en 1715, les jockeys utilisaient le sovatto, un fouet aux lanières munies de boules de plomb. Désormais, ils se contentent d'un nerf de bœuf, utilisé principalement pour frapper les chevaux et jockeys concurrents. Le cheval qui coupe en premier la ligne d'arrivée gagne la course, qu'il porte son jockey ou non. La contrada dont le cheval porte les couleurs remporte alors la bannière de soie attachée à une hallebarde, le palio à proprement parler.
- Sienne Sienne connut son âge d'or dés 1260. Malheureusement, deux catastrophes ralentirent et brisèrent l'évolution de la cité: La peste, au milieu du 14e siècle. Puis, au 16e siècle, la guerre avec la grande rivale : Florence.
Sienne a conservé ses maisons médiévales et ses ruelles étroites, formant 17 quartiers repliés autour de la Piazza del Campo. C'est là qu'a lieu, 2 fois par an, la célèbre course du Palio de Sienne. La fonte Gaia est une fontaine-bassin sculpté par Giacoppo della Quercia (XVe).
Centre mineur à l'époque romaine sous le nom de Sena, Sienne a été capitale pendant plusieurs siècles de la Toscane méridionale. C'est entre la fin du XIIIème et la moitié du XVème siècles que la ville a atteint le maximum de sa splendeur, en fondant son économie sur l'activité des compagnies commerciales et bancaires, favorisée aussi par sa proximité avec Rome.
La ville est célèbre aujourd'hui pour ses “contrades” et son Palio.[/c]

souvenirs perso plein mais un l'hosto de sienne service de pédospys pas trop touristique mais le docteur M ZAPELLA a donnée un conseil à mes parents
qui a changer ma vie

vendredi 18 janvier 2008

lecture en cours

Beau rôle: Nicolas Fargues
Du personnage de Beau rôle, jeune acteur « satisfait d’être libre et relativement célèbre, satisfait d’exercer un métier enviable, satisfait de n’envier personne », on ne sait trop s’il est carrément insupportable ou finalement touchant. Il est en tout cas, à lui seul, un concentré des contradictions et des faiblesses, cynisme et sentimentalisme mêlés, du jeune mâle contemporain imbu de lui-même mais secrètement rongé par le doute. Si on ajoute à cela qu’il est métis, et de fait à l’aise nulle part, on comprendra qu’Antoine Mac Pola est une figure typique des romans de Nicolas Fargues qui trouve là, de l’Europe aux tropiques, une nouvelle occasion de décrire avec une précision à la fois féroce et totalement désinhibée toutes nos complaisantes manières, qu’elles soient amoureuses, sociales, ou ethniques, de composer avec notre médiocrité.
biographie
Nicolas Fargues est né en 1972. Enfance au Cameroun, au Liban puis en Corse. Études de lettres à la Sorbonne. Mémoire de DEA portant sur la vie et l’œuvre de l’écrivain égyptien Georges Henein. Deux ans de coopération en Indonésie, retour à Paris, petits boulots, publication en 2000 du Tour du propriétaire. De 2002 à 2006, dirige l’Alliance Française de Diégo-Suarez, à Madagascar. Il a deux enfants. Il vit actuellement à Paris.

La femme digitale Isabelle Juppé
Le numérique est une vraie révolution, non seulement technologique et culturelle mais aussi économique et sociale qui bouleverse nos existences. Au cœur de cette révolution, les femmes sont de plus en plus présentes, notamment sur Internet. Comment vivent-elles cette révolution ? Comment en maîtrisent-elles les outils ? En sont-elles actrices ou complices ? Quels en sont leurs usages principaux ? Car si le numérique bouleverse la vie des femmes – créant de nouvelles occasions de travail, de rencontres, de solidarités – les femmes peuvent aussi modifier profondément la vie du numérique par leur conception beaucoup plus pragmatique que technophile et loin du manichéisme classique – diabolisation ou angélisme – cherchant avant tout à l’humaniser pour le transmettre aux nouvelles générations. Pour dresser le portrait de la femme digitale du XXIe siècle, Isabelle Juppé, nous emmène à la rencontre de diverses femmes croisées au cours de son voyage dans le monde digital. Un voyage qu’elle a commencé au Canada, avec son ordinateur Mac, devenu le compagnon précieux de son indépendance et de ses retrouvailles avec la France, promesses de moments de partage et d’émotion. Et poursuivi ensuite, en France et sur la toile… Isabelle Juppé dessine au fur et à mesure des confidences de ses interlocutrices les enjeux du numérique en termes d’échanges, de transmission, de culture, d’amour, de séduction…convaincue que le temps du numérique, qui crée notamment une nouvelle passerelle entre le monde du travail et celui de la maison, est définitivement en train de croiser celui des femmes !

mardi 15 janvier 2008

L'anniversaire d'amis ça se féte non ?


Stars mondiales, les Schtroumpfs fêtent leur 50e ans
BRUXELLES (Reuters) - Les Schtroumpfs célèbrent cette année leur 50e anniversaire avec l'ambition de s'installer dans le XXIe siècle grâce à l'animation digitale et à la multiplication de Schtroumpfettes politiquement correcte
L'aventure a commencé en 1958, lorsque le légendaire André Franquin se retrouve autour d'une bonne table à Bruxelles avec son ami intime Peyo, le pseudonyme de Pierre Culliford.
Ce dernier, indiquant la salière en cherchant ses mots, lance: "Passe-moi la... le... schtroumpf", s'est souvenue vendredi sa veuve, Nine, lors d'une conférence de presse. Franquin lui répond: "Voilà, je te le schtroumpfe."
Ce qui aurait pu rester une blague de potaches est imprimé quelques mois plus tard, le 23 octobre 1958, dans les pages du magazine Spirou, lecture obligatoire des enfants de l'époque.
Dans une aventure de Johan et Pirlouit, principaux héros de Peyo avec Benoît Brisefer, une petite voix s'élève en bas d'une case et dit sur un ton indigné: "Vous ne pouvez pas regarder où vous mettez vos schtroumpfs? Vous avez failli me schtroumpfer!"
Yvan Delporte, rédacteur en chef de Spirou et scénariste de la série, invente alors les mini-bandes dessinées que l'on peut découper, plier et cacher dans livres de classe en prenant un air studieux tout en rêvant au monde des bandes dessinées: tout petits, les Schtroumpfs se prêtent idéalement à l'exercice.
Le mouvement est lancé et va dévorer toutes les autres créations de Peyo avec trente albums à ce jour, malgré une qualité de dessin limitée par rapport à l'artiste qu'est Franquin.
SUCCÈS PLANÉTAIRE
Les petits lutins à la peau bleue et au bonnet blanc - à l'exception du Grand Schtroumpf barbu au bonnet rouge qui, comme dans Astérix et Obélix, fait office de druide inventant des potions magiques - envahissent la Belgique, la France, l'Europe et le monde.
Munis d'une mini-queue, ils sont tous identiques, ont tous 100 ans, sauf le Grand Schtroumpf, qui en a 542, et vivent une existence paisible dans leur village un peu gaulois: leur seul travail est d'entretenir le barrage qui leur fournit l'eau, de chercher de la salsepareille, leur friandise préférée, et d'échapper à l'effroyable sorcier Gargamel et à son chat Azraël.
Les 101 personnages hauts comme trois pommes et chauves sous leur bonnet - à l'exception de l'affriolante Schtroumpfette blonde qui fait schtroumpfer la tête de tous les habitants du village où les champignons sont des maisons - font fureur.
Le succès deviendra planétaire lorsqu'un ponte du studio américain de dessins animés Hanna-Barbera offre une peluche à l'effigie des Schtroumpfs à sa fille et décide d'en faire une série télévisée qui connaîtra un succès fulgurant en 272 épisodes.
Les Schtroumpfs peuvent donc se targuer d'être plus connus outre-Atlantique que Tintin ou Astérix et les enfants du monde entier connaissent les Smurfs et autres Schlumpfs, Smolfs, Pitufos, Puffos, Sumafus, Lan-Shin-Ling et Torpikeks.
LES SCHTROUMPFS NE SONT PAS COMMUNISTES
Contrairement à Hergé, à qui cela a valu quelques ennuis, Peyo n'a que très rarement fait des incursions dans la politique, sauf pour faire référence aux problèmes linguistiques belges, lorsqu'une partie des Schtroumpfs entend "schtroumpfer" quand l'autre partie comprend "schtroumpfer"...
Mais Thierry Culliford, le fils de Peyo, a coupé vendredi les ailes à une "rumeur" qui court sur internet et qui présente l'oeuvre de son père comme une allégorie du communisme avec le Grand Schtroumpf en Karl Marx dirigeant une société égalitaire menacée par le méchant capitaliste Gargamel.
"Mon père ne s'est jamais intéressé à la politique", a-t-il dit en expliquant que 1951 était l'année ... de son mariage avec Nine, et non celle de son adhésion au parti communiste.
Peyo s'est éteint en 1992, épuisé par le rythme industriel imposé par les studios américains et parce qu'il voulait tout contrôler, en bon artisan amoureux du travail bien fait qu'il était resté.
Mais sa famille se charge de faire fructifier l'héritage.
Depuis sa mort, 15 albums ont été publiés dans les studios qui portent son nom, les produits dérivés se sont vendus à des centaines de millions d'exemplaires et les Schtroumpfettes vont se multiplier pour s'adapter à la mode du politiquement correct, parité oblige.
Un film d'animation utilisant la technologie digitale est en préparation et l'extrait diffusé vendredi par ses concepteurs montre que les Schtroumpfs gagneront en réalisme - on croit voir Shrek - ce qu'ils ont perdu en poésie

samedi 12 janvier 2008

les boums



France, 1980De Claude PinoteauScénario : Claude PinoteauAvec Sophie Marceau, Claude Brasseur, Brigitte Fossey, Denise Grey, Sheila O'Connor, Bernard GiraudeauDurée : 1h50Rares sont les films qui traitent de l'adolescence avec autant de justesse. Celui-là en fait partie, il est l'un des films cultes du cinéma français et a toujours autant de succès car, si esthétiquement il est très contemporain (des décors aux vêtements en passant par la musique - enfin un film où l'on entend du ska ! ! - et les voitures, tout est estampillé eighties), le thème qu'il aborde et la manière de le traiter reste d'actualité.Ainsi, Claude Pinoteau nous présente ici Vic (Victoire), 13 ans, jeune fille sans soucis qui commence à traverser une période difficile à cause du collège, des parents et, surtout, de son premier grand amour, Matthieu. Rencontré lors d'une boum mythique, celui-ci va donner son premier baiser à la charmante Vic, qui ne verra plus que lui, dans tous les sens du terme (qui n'a pas rêvé d'avoir, comme elle, un store à l'effigie de son amoureux ?), ne vivra plus que pour lui, pour le voir ne serait-ce qu'un instant. Et c'est là que Pinoteau est un génie, car il arrive à nous faire comprendre combien les problèmes de Vic sont importants pour elle sans juger, sans jouer les adultes moqueurs qui font semblant de n'avoir jamais été jeunes: même si dans l'absolu ses problèmes sont dérisoires au possible, ici on est centré sur elle, sur sa vie et ses problèmes, amoureux surtout, deviennent l'enjeu du film. De plus, le personnage, déjà bien écrit, est formidablement joué par la révélation Sophie Marceau, et accompagné de seconds rôles extraordinaires, parmi lesquels Pénélope, la meilleure amie de Vic, Samantha la petite soeur de Pénélope amoureuse du père de Vic (carrément géniale) et de jeunes adolescents boutonneux/à lunettes/avec appareil dentaire très drôles (la scène du popcorn au cinéma est vraiment une scène culte).En plus de ces aventures sentimentales, rajoutez les relations bien sûr conflictuelles avec les parents, qui eux-mêmes ont des problèmes et se séparent, le père de Vic ayant une maîtresse. De son côté la mère va avoir une aventure, comble du comble, avec le prof d'allemand de sa fille ! Finalement l'annonce d'une prochaine naissance rabibochera le couple parental. Enfin, il y a Poupette, la pétillante arrière-grand-mère de Vic, celle qu'on a tous rêvé d'avoir, souriante, dynamique et compréhensive surtout.Bref on n'a jamais fait autant réaliste dans le film d'adolescent (quoique Bienvenue dans l'âge ingrat de Todd Solondz soit un petit chef d'oeuvre mais avec un côté caustique qui n'existe pas ici) et on peut tous se reconnaître plus ou moins dans ce portrait, les dialogues hyper réalistes et les situations crédibles permettant une totale identification et garantissant le succès toujours égal de ce film. Ainsi, la scène finale est terriblement vraie: enfin dans les bras de Matthieu pour sa boum d'anniversaire (qui était aussi un des sujets cruciaux du film), Vic voit entrer un beau jeune homme qu'elle ne connaît pas et le trouble se ressent parfaitement, quand il la voit mais surtout quand elle le voit: une nouvelle aventure commence !Deux ans plus tard, Vic revient dans La Boum 2 et, après avoir assisté au passage de l'enfant à l'adolescente, on assiste ici au passage de l'adolescente à la jeune femme (mais qui n'est pas tout à fait une femme). Elle tombera amoureuse (comme nous toutes à l'époque) du rebelle Pierre Cosso (aux yeux bleus inoubliables) tout en étant attirée par le plus âgé et charmeur Lambert Wilson.Ensuite, comme la conclusion d'une trilogie, Sophie Marceau (qui à partir de là a de quoi figurer dans notre section cul culte) interprètera en 1988 et pour Pinoteau toujours, Valentine dans L'étudiante: étudiante et prof préparant son agrégation de lettres, sa vie sera chamboulée par sa rencontre avec le musicien Vincent Lindon. Après bien des déchirures et des retrouvailles, l'amour triomphe bien sur une fois de plus !Par une trilogie d'apparence niaise (enfin, L'étudiante est quand même moins réussi c'est vrai), Claude Pinoteau a su trouver les mots justes pour parler au coeur des adolescents de toutes les époques, et aussi à celui des adultes qui n'ont pas oublié ce moment difficile mais tellement riche en émotions : "Dreams are my reality".Un film à revoir pour le plaisir et qui met de bonne humeur.
film qui symbolise mon enfance et une partie mon adolescence parce que avec ma cousine on connaissait les répliques de vic par coeur
merci steph pour le montage

vendredi 11 janvier 2008

TOSCANA




Quelques villages de toscane
Collodi
C'est le pays du conte le plus connu au monde, "Les aventures de Pinocchio".
Carlo Lorenzini y est né et porte le pseudonyme du pays en faisant de ce petit bourg l'un des lieux les plus connus au monde.
On y trouve le Parc de Pinocchio, le véritable pays des Balocchi où les enfants peuvent rencontrer tous les personnages du conte de la célèbre marionnette: Geppetto, la fée bleue, le Chat et le Renard, Jiminy Cricket, Stromboli entre autres.
Avant le parc, construit dans les années soixante-dix, quelques œuvres de grands artistes ont été réalisées dans ce petit pays: La monument dédié à Pinocchio et à la fée bleue, nous le devons au sculpteur Emilio Greco, la place des mosaïques de Venturino Venturi, l'auberge de Gambero Rosso conçue par l'architecte Giovanni Michelucci.
A voir aussi la villa Garzoni et son jardin. Le complexe imposant domine toute la vallée d'un coteau entre Pistoia et Lucques. La mère de Carlo Lorenzini travaillait là, c'était la fille du fermier de la villa.
La construction est de style baroque et possède un jardin splendide qui peut être visité.
Le complexe a été récemment légué à une entreprise leader dans le secteur des jouets, Giochi Preziosi spa et selon ses programmes, il devrait devenir un autre point d'attraction pour l'enfance.
Monsummano Terme
Cette ville est connue dans le monde entier pour sa production de chaussures.
Monsummano Terme est aussi un important centre thermal avec ses deux grottes, la Giusti et la Parlanti.
La première porte ce nom parce qu'elle appartenait à la famille de l'écrivain satirique Giuseppe Giusti. Elle fut découverte en 1849 par hasard dans une carrière de gravie
La grotte se prolonge dans la roche pendant environ trois cents mètres dans un environnement très caractéristiques de stalactites, stalagmites, petits lacs avec des eaux chaudes et de merveilleux effets de lumière.
Elle a été divisée en trois parties appelées comme les chants de la Divine Comédie: Enfer, Purgatoire et Paradis. Il est possible de prendre des bains, des douches et prendre des bains de boue.
La Grotte Parlanti est célèbre pour son eau qui jaillit à une température de 32 degrés. Même dans ce cas, on peut faire des cures thermales. En ce qui concerne le poète Giuseppe Giusti, il ne reste que le Palais où il naquit le 12 mai 1809 qui est aujourd'hui un musée. A voir également la villa Renatico-Martini qui remonte au XVIIème siècle et qui accueille des spectacles et des expositions.
Le Sanctuaire de la Madone de la Fontenuova est aussi d'un grand intérêt artistique.
La ville est dominée par un mont où se dressait un vieux château, premier noyau de Monsummano. Aujourd'hui il ne reste que des traces de la roche, des fortifications et de l'enceinte de murailles. L'église et le campanile roman ont survécu.
A peu de kilomètres de Monsummano Terme, nous trouvons le bourg médiéval de Montevettoli. Intra muros, on trouve la villa médicéenne, construite comme résidence d'été par le Grand Duc Ferdinand I et fut habitée aussi par Côme II. En revanche, elle fut vendue par Ferdinand II et actuellement, elle est la propriété des princes Borghese.
On a donné le nom de Michele Arcangelo à l'église qui conserve un patrimoine artistique précieux avec ses œuvres des XVème et XVIème siècles. Tous les deux ans, le pays de Montevettoli met en scène le Vendredi Saint la Via Crucis dans les ruelles du bourg.
Sur la route qui monte à Montevettoli, on peut voir le club de golf "La Pievaccia", l'un des splendides greens dans les oliviers avec 18 trous. San Gimignano
San Gimignano ou bien le petit pays des tours.
A la Renaissance, on en comptait bien 72, aujourd'hui il n'en reste que 14 mais elles réussissent tout de même à rendre cet ancien bourg qui domine la Val d'Elsa caractéristique et unique et qui a été déclaré par l'UNESCO, patrimoine de l'humanité.
Ce pays doit son nom au saint qui fut évêque de Modène, San Gimignano. Selon la légende, il aurait sauvé le petit bourg des hordes barbares qui plombèrent sur l'Italie. Sa naissance remonte à la période des étrusques même s'il a atteint l'acmé de sa splendeur au Moyen-Age grâce à la route francigina.
C'est à cette période que remontent les constructions et œuvres d'art les plus importantes. Comme par exemple, le Duomo défini même église collégiale, structure réalisée peu après 1100 qui conserve des œuvres artistiques remarquables des écoles florentine et siennoise. Une autre église qui mérite le détour est l'église de Sant'Agostino avec ses restes de fresques du XIVème siècle ainsi que les toiles de Benozzo Gozzoli, Piero del Pollaiolo et tant d'autres.
Dans la ville, il y a aussi d'autres églises mineures: Santo Bartolo, San Jacopo, San Piero, San Lorenzo in Ponte et les vestiges d'une église et de couvents supprimés, le musée civique (d'ici, on accède aussi à la tour Grossa ou du Podestat d'une hauteur de 54 mètres), le musée archéologique ainsi que la Spezieria de Santa Fina qui fabrique des produits de la pharmacie ancienne; ou bien la collection ornithologique qui se trouve dans une église du XVIIIème siècle de la Confraternité de Santa Fina.
Remarquable aussi le Palais communal avec sa cour et la salle de Dante pour rappeler que la ville accueillit Dante Alighieri en mai 1300 qui était là en qualité d'ambassadeur de la ligue guelfe en Toscane.
San Gimignano est non seulement connu pour ses beautés historiques et artistiques mais aussi pour ses produits de la terre comme le vin et le safran.
On y produit le célèbre "blanc" de la Toscane, la Vernaccia, un vin déjà décanté au Moyen-Age et cité par Dante au chant IV du Purgatoire.
Malgré tout, les origines de ce cépage sont toujours restées inconnues. La Vernaccia a été le premier vin italien a recevoir la marque DOC en 1966.[/c][/g]

jeudi 10 janvier 2008

FIRENZE TOSCANA




Florence (en Italien Firenze) est une ville d'Italie, capitale de la région de Toscane et chef-lieu de province (417 386 habitants, les Florentins). Située au pied de l'Apennin septentrional, elle est traversée par le fleuve Arno. Berceau de la Renaissance en Italie, ancienne capitale du Royaume d'Italie (1864-1870), inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco, Florence présente une très grande richesse artistique (églises, musées, palais) qui attire chaque année des millions de touristes venus du monde entier. Capitale de la Toscane, la puissante cité des Médicis ne se laisse pas apprivoiser au premier coup d'oeil. Les trésors artistiques de la Renaissance se cachent derrière la barrière austère de ses palais fortifiés ou de ses églises, où joue l'éclatante lumière d'Italie.
HISTOIRE
Du XIIe au XIVe siècle, Florence connaît de profonds bouleversements politiques et sociaux avec l'essor des riches familles de marchands groupées au sein du popolo, et le conflit entre les Guelfes et Gibelins qui partage l'Italie et Florence en deux. Ces deux processus accompagnent le développement de la commune qui, comme dans les autres villes de l'Italie septentrionale, désigne l'émergence de gouvernements autonomes qui ont acquis leur souveraineté après une lutte féroce débouchant sur la paix de Constance, octroyée par l'empereur Frédéric Ier en 1183. Les communes italiennes y ont acquis des droits souverains qui en faisaient de véritables cités-États.
La commune florentine naît environ un siècle après celle de Pise; elle est attestée dès 1081. Faut-il voir là l'absence d'une noblesse urbaine qui créait les premières communes partout en Italie ? En tout cas, le popolo des marchands cherche rapidement à faire partie des instances de la commune : le conseil exécutif du consulat, puis du podestat, une assemblée délibérative qui aura plusieurs noms. Florence connaît le combat des factions, avec les Gibelins qui triomphent dans les années 1240, avec le vicaire impérial Frédéric d'Antioche, bâtard de l'empereur Frédéric II. Les Guelfes sont au pouvoir en 1250 puis en 1266, quand ils prennent Florence avec l'appui de Charles d'Anjou, frère du roi de France appelé comme roi de Naples par le pape. Ces Guelfes sont soutenus par le popolo : ils créent la charge de capitaine du peuple en 1250, puis élaborent une nouvelle forme institutionnelle, la seigneurie, en 1282 : un conseil de prieurs, appartenant aux corporations des marchands, les fameux 7 arts majeurs des Arti (laine, draps, changeurs, juges et notaires, etc.), auxquels sont juxtaposés un gonfalonier de justice et des gonfalons (étendards) de quartiers, et ce alors que le podestat et le capitaine du peuple continuent d'exister. La faction guelfe se structure, reçoit même, pour les gérer, les biens des 4 000 Gibelins qui ont fui la ville. Dans les années 1290, les lois anti-magnatices entrent en vigueur : c'est la revanche des corporations de marchands qui interdisent aux nobles l'accès aux charges et limitent la taille des tours qu'ils avaient érigées.
Au début du XIVe siècle, Florence expérimente, tout comme les autres villes d'Italie (ex. les Della Scala à Vérone à partir de 1273), les seigneuries personnelles : Charles de Calabre la gouverne en 1323, suivi par le duc d'Athènes en 1343. Florence connaît une véritable crise au milieu du XIVe siècle : révolte du peuple, faillite des Peruzzi (grande banque) en 1343, peste noire qui fait disparaître la moitié de la population de la ville en 1348.
La ville est ensuite dominée par différents clans qui se disputent le pouvoir. En 1434, ce sont les Médicis qui deviennent maîtres de la ville. En 1569, Florence devient la capitale du grand-duché de Toscane. La ville garde de cette époque de nombreux monuments, dont l'église San Miniato al Monte (1018), l'église Santa Maria Novella, l'église Santa Croce, la cathédrale Santa Maria del Fiore (il Duomo, dont la coupole est réalisée par l'architecte Brunelleschi), abritant des œuvres de Giotto, Donatello ou encore Michel-Ange (voir les renvois sur tous ces monuments classés par genre).
Florence a été le chef-lieu de l'Arno, département français créé le 25 mai 1808, suite à l'annexion du royaume d'Étrurie à l'Empire français par les troupes napoléonniennes. La ville connut ensuite une période de lent déclin jusqu'en 1865, date à laquelle elle devient capitale du Royaume d'Italie. Elle perd ce statut en 1870, au profit de Rome.
-Le 4 novembre 1966, une crue catastrophique du fleuve Arno provoque des dommages considérables dans toute la ville.
-Le 27 mai 1993, un attentat frappe la Galerie des Offices, faisant plusieurs victimes et de nombreux dégats.
Entre le 7 et 10 novembre 2002, la ville a accueilli le premier Forum social européen (FSE).
les ponts
Le Ponte Vecchio est un des symboles de la ville de Florence. Il traverse l’Arno dans son point le plus étroit. La première construction en bois remonte à l'époque romaine. Détruit en 1333 par le fleuve, il fut reconstruit en pierre en 1345. Sa particularité réside dans le fait qu’il possède des boutiques (principalement des bijouteries) sur tout son long. Le Corridor de Vasari surplombe une des 2 rangées de boutiques et permettait aux Médicis de rejoindre le Palais Pitti depuis le Palazzo Vecchio et les Offices sans les dangers de la rue.
iL Ponte santa Trinita.
Il Ponte alla Carraia.
lil Ponte di San Niccolò.
il Ponte alla Vittoria
Seul le Ponte Vecchio a échappé aux destructions de la Seconde Guerre mondiale (bombardements allemands). Les autres ont tous été reconstruits depuis plus ou moins à l'identique.
Les églises :
-La Basilica Santa Maria del Fiore est le Duomo (la Cathédrale) de Florence. C’est la quatrième plus grande église d’Europe derrière la Basilique Saint-Pierre de Rome, la Cathédrale Saint-Paul de Londres et le Dôme de Milan. Elle est avec le Ponte Vecchio, l’un des symboles de la ville.
-Le Baptistère Saint-Jean (battistero di San Giovanni) est considéré comme le plus ancien bâtiment de la ville. Situé face au Duomo, il est connu pour ses magnifiques portes de bronze.
-La Basilique de Santa Croce (Basilica di Santa Croce), dont la construction commença le 3 mai 1294 sur les fondations d'une petite église, est située sur la Piazza Santa Croce. Elle est la plus grande église franciscaine au monde et elle est une sorte de panthéon, au regard des illustres personnages qui y reposent : Michel-Ange, Machiavel, Galilée…
-L'église San Lorenzo commencée par Brunelleschi, continuée par Antonio Manetti, façade intérieure de Michel-Ange. La Biblioteca laurenziana est accessible par son cloître.
Les palais:
-il Bargello (Palazzo Bargello) est un palais construit en 1255 qui abrite depuis 1865 un musée national, le Museo Nazionale del Bargello. Ce bâtiment austère, qui est surplombé par une tour de 60 m, fut à son origine le palais du Podestat, puis tribunal, prison et enfin musée depuis 1859.
il Palazzo Vecchio qui se trouve sur la Piazza della Signoria, est l'Hôtel de ville de Florence. Construit à la fin du XIIIe siècle par Arnolfo di Cambio, il fut entre autres, le siège de la Chambre des députés du Royaume d'Italie durant sept ans lorsque la ville était la capitale du pays. Le palais abrite également un musée.
Le Palais Pitti (Palazzo Pitti) est aujourd'hui le plus grand palais de la ville. Sa construction débuta en 1458, pour le compte d'un banquier du nom de Lucca Pitti, et fut dessiné par Filippo Brunelleschi. Les Médicis acquirent le palais en 1560, et y emménagèrent.
Le Palais Bartolini (Palazzo Bartolini o Palazzo degli Sportici) est l'hôtel le plus vieux de la ville (première mention en 1386). L'actuel palais fut construit par Baccio d'Agnolo autour de 1520, au même emplacement qu'il occupait depuis le XIIe siècle probablement. Il abrite en ses murs une tour du XIIe siècle, la torre Monalda [1], des verrières [2] de Ulisse de Matteis du début du XXe siècle. Il est par ailleurs en plein centre de la ville, dans un quartier prestigieux, et entouré d'autres palais historiques (Palazzo Davanzati, Palazzo Strozzi, Palazzo Strozzino... )
Les musés
-La Galerie des Offices (Galleria degli Uffizi) est sans conteste le plus beau musée de peinture d'Italie, et l'un des principaux au monde. Le palais qui l'accueille à été édifié entre 1560 et 1581 sur ordre de Cosme 1er pour centraliser l'administration. On trouve dans ses collections les toiles de grands maîtres de la Renaissance comme La Naissance de Vénus et Le Printemps de Botticelli, L'Annonciation de Léonard de Vinci, ou encore la Vénus d'Urbin de Titien, des tableaux de Cimabue et de Piero della Francesca. La Piazzale des Offices, sa galerie des grands hommes toscans.
-La Galerie de l'Académie (Galleria dell'Accademia) est l'un des musées incontournables de Florence. Il est abrité par l'Académie du dessin de Florence créée en 1562, transférée dans ses bâtiments en 1784 et comporte, depuis 1873, plusieurs œuvres de Michel-Ange, notamment le célèbre David, les quatre prisonniers et la Pietà da Palestrina.
-La Galerie d'Art moderne dans une des galeries du palais Pitti.
Bibliothèque nationale centrale de Florence:
La Bibliothèque nationale centrale de Florence (en italien Biblioteca Nazionale Centrale di Firenze), également connue sous le sigle BNCF, est l'une des deux bibliothèques nationales de l'Italie, avec celle de Rome.
Origine des fonds
Son noyau originel provient de la collection d'Antonio Magliabechi, qui légua plus de 30 000 volumes à la ville de Florence en 1714.
-La collection s'est étoffée avec la décision du grand-duc François II de Toscane de faire déposer un exemplaire de tout ce qui s'imprimait à Florence (1737) puis dans toute la Toscane (1743).Ouverte au public à partir de 1747, elle a reçu de nombreux dons et dépôts, en particulier de couvents supprimés à partir des années 1770.En 1966, elle subit les dommages catastrophiques suite aux inondations de Florence et elle voit ses collections détruites ou endommagées par centaines de milliers de volumes ; même ses archives photographiques disparaissent, elles mêmes qui étaient les seules traces d'œuvres détruites ou volées pendant la guerre. D'après l'Unesco, « plus de deux millions de volumes rares et irremplaçables et d'innombrables manuscrits sont sérieusement endommagés ».[/c][/g]

samedi 5 janvier 2008

en attendant mardi

Hier avait lieux les premières primaires pour designer les candidats démocrates & républicains , en quoi cette désignation peut m intéresser tout d'abord parce que l'élection présidentielle américainne est importante pour le sort du monde. Contre toute attente ses premiers cocus qu semblait acquis à Hilary CLINTON ex première dame d'un côté et rudolf Guilliani emblématique maire de new york . mais les primaires de l'iowa ont crée deux surprises d'abord Barack Obama jeune sénateur de l'llinois semble être le premier noir à pouvoir prétendre à fonction suprême, il n'est pas noir mais métis pas dépendant d'esclave mais émigré kenya de fraîche date, ce double handicap pourrait le couper d'une partie de l'électora démocrate . Mais c'est tout fois Obama qui enthousiasma les délégués démocrates en 2004 deplus il se prononça sans attendre contre la guerre à la différence d'hillary . on remarque le carlisme et enthousiasme d'obbama qui place sa campagne sous signe de l'espoir
toute fois des questions obama sera -til capable de dépasser les cilvages ethniques ?
une enquête Une enquête d’octobre 2007 donne un début de réponse, révélant que Obama est loin derrière Clinton dans les intentions de vote de la communauté noire (33% contre 57%). Si les hommes noirs choisiraient -de peu- Obama (46% contre 42% pour Clinton), les femmes noires voteraient massivement pour la candidate (68% contre 25%), faisant jouer la solidarité féminine -"sista vote"- plutôt que raciale. rien n'est donc jouer ce n'est la première primaire
De même côté républicain une surprise également là c'est Rudy guillaini ancien maire de new york semblait avoir partie gagner m ais c'estL'ancien gouverneur de l'Arkansas, Mike Huckabee a déjoué les pronostics en remportant les cocus républicains de l'Iowa. Cet ancien pasteur baptiste, encore totalement inconnu il y a quelques mois, a largement battu Mitt Romney, ancien gouverneur du Massachusetts, qui a longtemps fait la course en tête dans l'Iowa en atendant "le super mardi " obama simple en tête dans les sondages contre madame clinton
l'espoir prime t-il sur experience dans les deux camps
Obama et Huckabee convoitent désormais le New Hampshire wait and see









vendredi 4 janvier 2008

coup coeur pour une chanson

EYE IN THE SKY NOA
Don't think sorry's easily said
Don't try turning tables instead
You've taken lots of Chances before
But I'm not gonna give anymore
Don't ask me
That's how it goes
Cause part of me knows what you're thinkin'
Don't say words you're gonna regret
Don't let the fire rush to your head
I've heard the accusation before
And I ain't gonna take any more
Believe me
The sun in your Eyes
Made some of the lies worth believing
{Refrain:}
I am the eye in the sky
Looking at you
I can read your mind
I am the maker of rules
Dealing with fools
I can cheat you blind
And I don't need to see any more
To know that
I can read your mind, I can read your mind
Don't leave false illusions behind
Don't Cry cause I ain't chnaging my mind
So find another fool like before
Cause I ain't gonna live anymore believing
Some of the lies while all of the Signs are deceiving

{Refrain}

pour celui qui met mes yeux dans ciel depuis presques trois ans

jeudi 3 janvier 2008

actu culturelle : CANNE


CANNE A SON PRESIDENT
Sean Penn présidera le jury du 61e festival du film de Canne du 14 au 25 mai—
L'Américain Sean Penn acteur-réalisateur à fleur de peau spécialisé dans les rôles sombres, Oscar du meilleur acteur 2004 pour "Mystic River", présidera le jury du 61e festival international du film de Cannes du 14 au 25 mai, ont annoncé jeudi ses organisateurs dans un communiqué.
Sean Penn, 47 ans, ancien enfant terrible d'Hollywood, s'est d'abord fait connaître pour son mariage agité avec la chanteuse Madonna au milieu des années 80 avant de gagner le respect de ses pairs pour son travail d'acteur et de réalisateur.
"Partout dans le monde, le cinéma semble faire l'objet d'un intense renouveau: de plus en plus de films éveillent l'imaginaire et provoquent émotion et réflexion, dans l'émergence d'une nouvelle génération de cinéastes extrêmement talentueux", explique l'acteur cité dans le communiqué.
"Le Festival de Cannes est depuis longtemps l'épicentre mondial de la découverte des nouvelles vagues de réalisateurs. C'est pourquoi il me tarde d'y participer cette année comme président du jury", ajoute-t-il.
Pour Thierry Frémaux, délégué général du festival, le choix de Sean Penn "était une évidence" car, a-t-il dit à l'AFP, "il incarne le cinéma indépendant américain ainsi qu'un certain visage de l'Amérique qu'on aime".
Fils d'un réalisateur de séries télévisées et d'une actrice, il a débuté à 21 ans sur les planches de Broadway et au grand écran.
Sa carrière d'acteur est véritablement lancée avec son rôle de recrue policière dans "Colors" (1988). En 1991, il passe pour la première fois derrière la caméra avec "The Indian runner", un succès d'estime inspiré de la guerre du Vietnam avant de récidiver en 1995 dans "Crossing guard" ou encore dans "The Pledge" en 2001.
Nominé plusieurs fois aux oscars à partir de 1996, il emporte la fameuse statuette en 2004 grâce à son interprétation bouleversante d'un père vengeur dans le sombre "Mystic River", film de Clint Eastwood.
Son dernier film en tant que réalisateur, "Into the Wild", sur la vie et la mort d'un étudiant qui décide de tout quitter pour s'installer en Alaska, sort le 9 janvier en France. Ce film est arrivé en tête fin décembre des nominations du principal syndicat des acteurs de Hollywood (SAG), un des indicateurs sur la route des Oscars.
Sean Penn est aussi connu pour ses engagements citoyens, entre un voyage polémique en Irak pour dénoncer la politique américaine dans ce pays et une série de reportages en Iran pour un journal américain.



Qui est sean PENN:

Il est une des principales icônes de l’acteur engagé. Pendant longtemps, il fait aussi figure d’enfant terrible du cinéma. Le fils des acteurs Leo Penn et Eileen Ryan, formé à la comédie et à la mise en scène, a la réputation d’être excessif. Son intensité transperce le grand écran, mais son jeu est tout en subtilité. Sean Penn, avant d’arriver dans les salles de ciné, se consacre au théâtre. Ses quelques passages dans la lucarne lui permettent de venir occuper les salles obscures. Le comédien décroche un rôle dans un film qui révèle aussi Tom Cruise. Le bad boy, qui continue à monter sur les planches, fait la rencontre de Madonna. Les deux tempéraments explosifs font souvent la une des journaux. Si seulement Shanghai surprise pouvait avoir le même succès médiatique… Mais c’est un bide ! Dans la vie, les mariés se donnent sûrement bien la réplique, mais dans la comédie policière, ils n’arrivent à convaincre ni le public ni les critiques. Sean Penn s’impose tout de même comme l’un des plus grands acteurs hollywoodien, avec son tempérament fort et son charisme qui lui permettent de jouer les rebelles et les violents. Avec Robin Wright Penn, la Kelly de Santa Barbara, « qui me dira pourquoi j’ai le mal de vivre ? », il se calme. Sa femme le change, mais il reste militant : avec son rôle de condamné dans La Dernière marche, il met sous les projecteurs ses positions contre la peine de mort. Il est fait pour les rôles agressifs, mais aussi pour les drames, les personnalités à fleur de peau ou les êtres ambigus.

mercredi 2 janvier 2008

COUP COEUR ALBUM CD ALDEBERT



Guillaume Aldebert commence très sérieusement à faire parler de lui et pour cause ! Après trois albums (« Plateau Télé » en octobre 2000, «Sur place ou à emporter » en mars 2003 et « L'année du singe » en octobre 2004 – près de 50 000 exemplaires écoulés), salués par la critique et encensés par les foules (plus de 200 000 spectateurs à son actif !), le voilà de retour avec son nouvel opus « Les paradis disponibles ».Nouvel objectif pour cet ancien étudiant en photographie : régler définitivement sa focale sur la chanson. Il est dans l'air du temps et il prend le temps de peaufiner des airs à la fois dansant et nostalgique. C'est ainsi qu'il nous offre 13 chansons porte bonheur, sorte d'inventaire des joies simples, de « première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules » de Philippe Delerm. Cet album résonne comme un hymne à la vie, à l'amour, une sorte de carpe diem déjà cher à Aldebert. D'ailleurs, chaque chanson est comme une bouffée d'altruisme. Ecoutez-le chanter, « Le bonheur c'est d'arriver à désirer ce qu'on a déjà » ou encore, c'est un « chagrin qui se repose » (Des chatons dans un panier) et vous comprendrez à quel point il est naturel d'être heureux. L'écriture d'Aldebert a évolué et il vous le prouve. Si on se mettait à jouer au jeu des ressemblances, on ne pourrait s'empêcher de sentir parfois l'influence d'un Brassens, clairement assumée par l'intéressé.
coup coeur pour cet artiste incontounable je cours achété son cd live merci dezeer lol
merci pour être dans notre tête