vendredi 30 mai 2008

comme un arc en ciel


Mon humeur est à la fois questioneuse motivée et douteuse pourquoi parce que j'ai toujours douter de moi c'est pathologique je crois enfin peut être. à la veille de faire le grand saut vers l'indépendance . la peur de moi resurgit la peur dêtre "seule" face à moi même d'assumer tout avec des questions pleins la tête & le cœur comme toujours humeur arc en ciel pourquoi parce que gai & nostalgique entre pluie et soleil voilà l'état de mon cœur, de mon esprit parce que je n'ai pas âme c'est quoi l'âme d'abord ? d'après ceux que j'ai cru comprendre ça à voir avec le mystique donc pas pour moi


samedi 24 mai 2008

coup coeur pour un cd

Mademoiselle

Berry

Mademoiselle, j'ai des secrets,
Des choses que je sais que je tais
Un vieux bubblegum
Qui colle aux souliers comme un homme

Mademoiselle, j'ai des regrets,
Des trucs pas très chics que j'ai faits
Une odeur de rhum
Qui colle à la peau comme un homme

{Refrain, x2}
Je crains d'en savoir un peu trop
L'amour aura ma peau

Mademoiselle, j'ai des frissons
Je tremble pour un oui, pour un non
Un Smith & Wesson
Qui colle à la tête comme un homme

Mademoiselle, j'ai mes raisons
Une foule de questions, un prénom
Le filtre d'une Winston
Qui colle aux lèvres comme un homme

{au Refrain, x2}
mademoiselle :
cette album est fait de onze perles bouleversante, intemporelle ,et moderne. Sont univers est particulier tout en contradiction, tout à la fois tendre et brutal sombre & pastel , pudique & jubilatoire voilà pourquoi j'aime cet album merci deezer lol

lundi 19 mai 2008

mon cd du moment

Mercy

Duffy

I love you
But I gotta stay true
My moral's got me on my knees
I'm begging please
Stop playing games

I don't know what this is
But you got me good
Just like you knew you would
I don't know what you do
But you do it well
I'm under your spell

You got me begging you for mercy
Why won't you release me
You got me begging you for mercy
Why won't you release me
I said you better release me

Now you think that I
Will be some thing on the side
But you got to understand
That I need a man
Who can take my hand, yes I do

I don't know what this is
But you got me good
Just like you knew you would
I don't know what you do
But you do it well
I'm under your spell

You got me begging you for mercy
Why won't you release me
You got me begging you for mercy
Why won't you release me
I said you better release me

I'm begging you for mercy
Just why won't you release me
I'm begging you for mercy
You got me begging {x3}

Mercy,
Why won't you release me
I'm begging you for mercy
Why wont you release me
You got me begging you for mercy
I'm begging you for mercy {x4}
Why won't you release me
Bring it on

Mercy
Begging you for mercy
You got me begging
Down on my knees
I said mercy
Begging you for mercy
You got me begging.

L'ange symbolique.......................................



Symbolique de l’ange L’ange symbolise l’intermédiaire entre Dieu et l’homme. Il a une fonction de médiateur, de protecteur et d’intercesseur. Etre surnaturel et supérieur, établissant un pont entre le ciel et la terre, il intervient dans de nombreuses traditions. Dans sa valeur la plus répandue, il participe d’une symbolique positive. A la fois messagers et protecteurs, les anges honorent Dieu par leurs chants et aident l’homme dans sa quête spirituelle. Symbole d’innocence et de candeur, ils sont traditionnellement représentés vêtus d’une robe blanche, ailés et souvent auréolés. Les religions monothéistes leur consacrent une place de choix et établissent une hiérarchisation très pointue quant à leurs différentes fonctions. Les anges sont ainsi omniprésents dans l es textes, à l’origine et à la fin des temps. […]Selon la mystique juive, un bon ange et un mauvais ange sont attachés à chaque homme. Ils ont pour mission de les protéger, de noter ses bonnes et mauvaises actions et de guider son âme dans le royaume de l’au-delà après son décès.In
Dictionnaire des symboles, mythes et croyancesLes anges ont bénéficié d’une attention considérable dans la mystique juive qui les groupe en diverses catégories comme les anges de jugement sévère et les anges de merci, ou les anges du mal et les anges serviteurs. Les textes mystiques opposent également anges aux caractéristiques féminines et anges aux caractéristiques masculines (Zohar, 1,11,9b ; 2,4b). Les anges ont des rôles spécifiques au ciel et ils sont hiérarchisés (Zohar 1,11-45). Ils peuvent prendre forme humaine ou apparaitre comme des esprits lorsqu’ils exécutent des missions terrestres […]Aujourd’hui, la tendance est à une interprétation symbolique des références bibliques et liturgiques aux anges. Le judaïsme réformé a éliminé de son livre de prières presque toute allusion aux anges. Le judaïsme conservateur a gardé les références, mais leur refuse toute interprétation littérale. L’orthodoxie moderne, sans pour autant en écarter l’idée, tend également à rationnaliser les anges, à les expliquer symboliquement, et évite tout débat fondamental sur leur existence. Dans les courants plus traditionnels de l’orthodoxie, notamment parmi ceux qui penchent vers le mysticisme, comme les hasidim ou les communautés orientales, la croyance dans les anges se poursuit sans changement notable.In Dictionnaire encyclopédique du judaïsme Ange de l’oubli : Purah, ou Puta, ou Poteh. Aussi désigné comme l’ange du Manque de mémoire. Purah : un ange invoqué dans des rites de magie, à la fin du sabbat. Isaac Luria associe Purah à Esaü-Samuel. Dans la tradition légendaire juive, Purah est le seigneur de l’oubli, l’ange du manque de mémoire.Dans « Jachid et Jecchidah », une des nouvelles d’Isaac Bashevis Singer (tirée de Short Friday, 1964), Purah est décrit comme un ange « qui dissipe la lumière de Dieu ».In Dictionnaire des Anges

dimanche 18 mai 2008

tout et rien à la fois


Pleins choses donc, cher visiteurs vous avez du remarquer que j'avais laissé choir mon blog depuis quelques temps .J'ai mis de textes d'autres , des résumés de livres mais rien de personnel pourquoi il se passe que des choses banales qui ne le sont pas en faite
juste une jeune femme s'installant dans son premier appartement " seule" en espérant secrètement que ce ne soit que temporaire mais chut .....................
et oui elle rêve au prince charmant , elle connait son royaume lointain mais ............................
Elle mise sur l'avenir est elle raison, elle va au devant de désillusions comme une non admissibilité au concours pour la troisième fois mais bon 100% des gagnants ont tenté leur chance copyright " la française des jeux " non monsieur Not Professeur de littérature à l'université de Provence.
Elle attend le mois de juillet avec une impatience mesuré, au son du nouvel album de Cabrel , de duffy et ses incontournables ( Jean jacques, Bernard, Alain vincent, les jacques , john , paul mark guillaume )
quelques beau moment en attendant comme un déménagement tout les cinq , une conversation sur msn avec un super prof , un mail qui fait plaisir
des petits moment de plaisir les premières cerises du jardin , le choix de décor pour l'appart,
des pensées pour il mio nonno aujourd'ui en particulier .

pleins de projets à venir un week end de plongéé au mois juin un autre de voile des amis de passage, des match de tennis à la tv sans mauvaise conscience , un week end à Paris pour une corvée et du plaisir quand même voilà le début d'une nouvelle vie de ma nouvelle vie voilà suite au prochain épisode

ma chanson du moment


Le chêne liège

Francis Cabrel

Adossé à un chêne liège,
Je descendais quelques arpèges
En priant Dieu, Bouddha, que sais-je,
Est-ce que tu penses à nous un peu ?

Le monde est aux mains de stratèges
Costume noir, cravate beige
Ou turban blanc comme la neige
Qui jouent de bien drôles de jeux

Il y a dans nos attelages
Des gens de raison, de courage,
Dans tous les camps de tous les âges
Dont le seul rêve est d'être heureux

On a dressé des cathédrales,
Des flèches à toucher les étoiles,
Dit des prières monumentales,
Qu'est-ce qu'on pouvait faire de mieux ?

Êtes-vous là, êtes-vous proche
Ou trop loin pour entendre nos cloches ?
Ou gardez-vous les mains dans les poches ?
Ou est-ce vos larmes quand il pleut ?

D'en haut de vos très blanches loges
Les voyez-vous qui s'interrogent
Les millions de fourmis qui pataugent
La tête tournée vers les cieux ?

Sommes-nous seuls dans cette histoire,
Les seuls à continuer à croire ?
Regardons-nous vers le bon phare
Où le ciel est-t-il vide et creux ?

Adossé à un chêne liège,
Pris comme dans les fils d'un piège
Je descendais quelques arpèges
Je n'avais rien trouvé de mieux

Où êtes-vous dans l'atmosphère ?
On vous attend, on vous espère
Mais c'est le doute et le mystère
Que vous m'aurez appris le mieux

Adossé à un chêne liège,
Je descendais quelques arpèges
Par un après-midi pluvieux

Je descendais quelques arpèges
Par un après-midi pluvieux

je trouve ce texte superbe, il pose une question existentielle que je pose aussi

mardi 6 mai 2008

lecture en cours

Les années A Ernaux:

L'auteur s'est lancée dans une entreprise proustienne : saisir le temps qui passe à travers une fascinante et mélancolique autobiographie à la troisième personne. Ce livre contient le destin de toute une génération : la voiture, la télévision, la pilule, et celui, spécifique, des femmes de cette génération : la maternité, le désir de vieillesse...

extrait du roman
les images réelles ou imaginaires, celles qui suivent jusque dans le sommeil
les images d'un moment baignées d'une lumière qui n'appartient qu'à elles
Elles s'évanouiront toutes d'un seul coup comme l'ont fait les millions d'images qui étaient derrière les fronts des grands-parents morts il y a un demi-siècle, des parents morts eux aussi. Des images où l'on figurait en gamine au milieu d'autres êtres déjà disparus avant qu'on soit né, [... ]

critique du roman:

Ce livre impressionnant d’Annie Ernaux se lit comme un film qui projette sur l’écran de la page plus de soixante années d’une époque partant de 1940, année de naissance de l’auteur. On dirait, par l’emploi de l’imparfait et du passé simple, que les images, les paroles, les sons, sont au fur et à mesure de la projection du film avalés par le temps passé, rembobinés. Et maintenant, c’est un autre temps. La page est en train de se tourner avec la projection du livre-film. Comme si l’auteur avait écrit-filmé ces plus de quarante années, avec la précision très clinique de son écriture à nulle autre pareille, plus pour les rembobiner et les stocker quelque part que pour inventer les lecteurs à venir dedans. Comme si ce qu’il y avait à lire était dans ce qui reste dans la béance ouverte : et maintenant ? Une femme, là, dans sa solitude. Qui résiste à quoi ? Au traitement de masse de l’être humain ? Et rien qui reste de singulier ? Ce qui me frappe tout de suite, c’est ce qui est dit presque d’emblée sur le mariage : c’est un compromis. Nous entendons : dès le départ, c’est compromis. Bien sûr, surplombant celle qui écrit et enregistre de cette manière dénudée , et qui en faisant cela peu à peu avance elle-même comme un cas clinique (cas clinique pour dire cas singulier) s’offrant à notre investigation scripturale, il y a le couple parental, le père qui avait tenté d’étrangler la mère, la mère dont la vie s’achève dans le désastre de la maladie d’Alzheimer.

jamais un écrivain n’a, comme Annie Ernaux, conduit l’écriture jusqu’à ce temps de vérité, ce temps d’émettre un jugement, ce temps de fin de docilité gavée. Et c’est formidable !