samedi 30 mai 2009

le boormamg

j'essaie dêtre prévoyante mais pas prévisible, puisques je suis atypique enfin j'espére
mais il y a une chose qui est avec moi depuis l'enfance.
je tiens à préciser que en temps , je le vis plutôt bien

c'est ça ma vie ça a toujours était ça et plus encore aujourdhui : je ne changrais ma place pour rien au monde. Toute fois malgrés que soit la reine du handicap planer c'est tout prévoir toute le temps
ce fait m'enuis me pése mai c'est la vie c'est ma vie
quand malgrés toutes prévisions préventions qui ne laisse presques aucune place à imprévus
qui fait le sel de la vie
pas pouvoir débarquer dans un hosto au luxembourg à 21H avec des cadeaux & the magic cake par exemple
pas pouvoir aller au ciné ou la plage juste par envie
voilà ceux que j'appelle l'effet boomrang de la d'inpendence:
pourquoi je nome cet état par ce que malgrés toutes les précausions, les prévoyances , stratagême que je peux mettre en place , elle me revient periodiquement à la figure comme un boomrang .
Je vous dis qu'un boomrang ça fait me mal

mercredi 20 mai 2009

cittaition que j'aime

« Il est de forts parfums pour qui toute matière
Est poreuse. On dirait qu’ils pénètrent le verre.
En ouvrant un coffret venu de l’orient
Dont la serrure grince et rechigne en criant,
beaudelaire

lundi 18 mai 2009

toi


Ce qui me touche, c'est Toi

Et le bruit de tes pas

Ce qui fait mal, c'est
Toi

Quand tu es loin de
Moi

Ce qui me brûle, c'est ta peau

Quand d'autres en rêvent trop

Ce qui fait peur, c'est tes envies

Quand je n'en fais plus partie

Ce qui me touche, c'est
Toi

Et le son de ta voix

Ce qui fait mal, c'est tes bras

S'ils s'ouvrent à d'autres que
Moi

Ce qui me tue, c'est ton coeur

Quand ses battements me leurrent

Ce qui fait mal, c'est tes envies

dimanche 17 mai 2009

la chose la plus partagé du monde

Céline super en colére depuis samedi dernier à l'égard de me semblables je veux dire les personnes handicapèes tout ça parce que


Les personnes handicapées sont des cornards, connasses & des idiots comme les autres . Dois je dire que je suis rassurée pas sur ?
je savais que les personnes handicapées étaient le miroir de la socièté.
Mais jusquà hier je n'imaginais à quel point, cela peut paraître rassurant sur le fait que lespersonnes handicapées sont des personnes comme les autres depuis que nous revendiquons c'est enfin arriver mais hélas ce n'est pas pour de bonne raison puisque la chosemieux partager en ce monde est la connerie et sur ce coup là nous sommes égaux il y a aucun soucis
es ce une bonne choses là est là question ?
encore une qui restera sans réponse
suis je intello oui
suis je atypique oui
mais toute façon si personne ne donnait prise au rumeurs ça irait mieux
je pense que c'est la première fois que je ressens un pareil sentiment

jeudi 7 mai 2009

coup coeur pour 1800 DESIRS



Martin Rappeneau est définitivement a part dans le monde si formaté de la chanson . Ses deux premiers albums, La moitié des choses et L’âge d’or, parus respectivement en 2003 et 2006, jetaient déjà les bases d’une pop new look , classieuse et estampillée made in France . On se souvient par exemple de ces morceaux comme Les figures imposées et Julien qui avaient révélé au grand public un héritier inattendu de Véronique Sanson, William Sheller , et Michel Berger , comme eux fin pianiste et amoureux de la langue. Pour ce troisième disque , Martin a pris son temps , (il a même cru souffrir d’une « laurent voulzyte »…). Après deux longues années sur les musiques , il contacte Régis Ceccarelli pour l’aider sur la direction musicale . Issu lui aussi d’une famille d’artiste, il devient un véritable complice à la double culture de batteur ( Keren Ann, Tété, Jean Louis Murat ) et de producteur ( Henri Salvador , Abd El Malik), un esthète qui, en maître du tempo, a su capturer la pulsation intérieure du chanteur. Puis c’est au tour des textes. Essentiels, ils traduisent sa musique et s’ils parlent d’amour c’est que ses partitions en sont pleines. Quand Martin écrit c’est à deux, avec ses « sages femmes » : Marie Richeux, Caroline Lesieutre, ou Benjamin Seilles. Mais pour la première fois quelques «spécialistes» se sont penchés sur ses mélodies : Jean -Loup Dabadie, Gérard Duguet Grasser, l’une des nouvelles plumes de Julien Clerc , et Didier Golemanas, un auteur qui écrit aussi bien pour Vanessa Paradis , Bashung , ou Johnny et qui voulait travailler pour Martin depuis qu’il l’avait vu il y a quatre ans à sa toute première é mission de télévision… En studio , les musiques s’enluminent en petit comité. Martin Gamet et Laurent Vernerey se partagent les basses , Eric Sauviat apporte sa guitare aux parfums folk, Julien Chirol ses cuivres raffinés. Au milieu d’arrangements et d’orchestrations sobres et imparables, la voix de Martin s’est affirmée. Sur les cré dits, il se donne la paternité des « mélodies et harmonies », mais en réalité il est le maître concepteur de l’ ensemble , un chef d’ orchestre doubl é d’un chef du verbe. Car si chaque texte est une esquisse d’une peinture sentimentale, Martin a voulu qu’ensemble ils forment le portrait d’un homme et d’une femme qui s’aiment et se déchirent… L’ album est construit avec un beau sens de la dramaturgie. Son épicentre est Ce n’était pas moi, seule chanson qui ne parle pas d’amour, mais de la réticence de Martin à chanter les malheurs du monde, non par indifférence mais par honnêteté. Autour, on trouve d’abord des chansons au groove énergique : le morceau-titre chante la course aux désirs inassouvis et la perte de l’être aimé. Elle disait, elle disait s’écoute comme un court métrage mélancolique dont le cadre est un hôtel du sud de l’ Italie où les temporalités se télescopent. Après l’orage est une ballade moite où on se cache sous les draps…, tandis que Julie & Sarah se parfume des odeurs des amours de lycée. Sans armure , en forme de chanson manifeste , prêche la fin des demi-mesures et ordonne de vivre à fond. Quant à On n’a pas fini de s’ aimer , il évoque les tubes imparables et les grands hymnes « eltonjohnien » des 70’s. Il y a des zones plus sombres : Pas ce regard là évoque les ruptures graves où tout redevient possible sur le pas d’une porte …Le vrai malheur cache sous un tempo élé gant une ode aux amours perdues. …Et solitaire et solitude oppose deux mots ou deux personnages qui ne se ressemblent qu’en apparence. Puis accompagné de son seul piano, Martin dé tourne l’éternel « je t’aime », et l’inverse pour qu’il devienne Je me tais. Enfin, A l’Ouest est un sublime épilogue où le point cardinal est à la fois la métaphore d’un ailleurs et le symbole d’un soleil couchant qui clôt l’album avec une belle douceur pleine d’espé rances. Au fil de ces douze chansons, Martin Rappeneau est le metteur en scène et en sons de ses refrains imagés. Il veut que l’ intime et le populaire s’y rejoignent, et il peaufine sa science d’ artisan sonore et ce sens de la perfection qu’il porte haut et fort, à tel point que le mixage de l’album a commencé à New York , avec Michael Brauer aux manettes , le mixeur de Coldplay , KT Tunstall et James Morrison. Aux antipodes du son compressé, Martin a d’ailleurs bien du mal à imaginer que son album puisse un jour s’écouter sur un télé phone portable ! « Connaître Martin c’est l’aimer », dit l’une de ses proches qui a bien compris que son public est avant tout féminin... Trentenaire de son temps, il revendique sa fidélit é à l’art de la variété et sa fascination pour la grande époque du rock et de la pop des années soixante-dix. Ses ardeurs autobiographiques viennent alimenter un monde onirique où la musique habille les mots, les compl ète, les renforce. On pense alors fugitivement à quelques grands orfèvres dont l’influence n’est pas si loin : Paul Simon, James Taylor, Jackson Browne… Lorsqu’on demande à Martin quel est le « style Rappeneau », il répond sans hésiter : « être toujours solaire malgré les peines » ; puis il ajoute : « suivre son rythme, son harmonie , les battements de son cœur ». Une belle profession de foi d’un chanteur – philosophe qui avoue porter une carapace dans la vie mais s’ouvrir dans ses chansons, et plus encore lorsqu’il est sur scène. Car Martin est un show man capable de mettre un Casino de Paris debout dès les premières notes et qui depuis ses dé buts a toujours su repérer et faire venir sur scène les talents à venir ( Camille , Rose ou Emily Loizeau). Cette attitude éclectique va se poursuivre : pour ses concerts du début 2009, on annonce déjà la participation d’un quatuor à cordes. Dans la tradition des grands mélodistes français que sont un Julien Clerc ou un Laurent Voulzy , Martin Rappeneau est un aristocrate moderne de la chanson. Avec talent et intégrité, il poursuit son combat poé tique et musical , continue d’être indépendant et de n’appartenir à aucune école . Séducteur né, il met ses mélodies soyeuses et ses mots choisis au service d’une chanson élégante et racée qui n’a pas fini de nous faire frissonner. Pascal Bussy.

samedi 2 mai 2009

un livre 100% FILLES


Le prochain truc sur la liste :
Roman américain de Jill Smolinski. Chez J'ai Lu.
Que ce soit la dernière liste de courses, celles des rendez-vous à ne pas manquer ou des livres à acheter, ces petites énumérations font partie de notre quotidien. Elles sont bien utiles pour ne rien oublier et j'ai une préférence pour les plus futiles d'entres-elles, celles qui ne sont pas toujours avouables comme la liste de nos acteurs préférés (et pas parce qu'ils jouent bien la comédie) ;) ou celles des choses que l'on rêverait de faire si on avait un petit ami...

Mais revenons au livre et à la vie de June Parker, qui est bouleversée par un terrible accident : après une réunion Weight Watchers où une jeune femme, Marissa a fièrement fêté sa perte de poids (près de 45 kilos !). June a proposé de la raccompagner, lui évitant alors de prendre le bus avec ces jolis talons hauts peu confortables. Ce que personne n'aurait pu prévoir, c'est que le camion les précédant perdrait son chargement au moment où Marissa détacherait sa ceinture pour attraper son sac à l'arrière du véhicule. June s'en sort avec quelques égratignures alors que Marissa décède.
June est dévastée, elle se sent coupable de la mort de la jeune femme. Un détail vient cependant attirer on attention : dans le sac de Marissa, une liste des choses qu'elle projetait d'accomplir avant son 25è anniversaire comme perdre du poids , embrasser un inconnu , courir un 5000 mètres, admirer un lever de soleil ... Quelle meilleure façon de rendre hommage à Marissa que de réaliser ses souhaits? Après tout, ce n'est pas comme si elle avait énormément à faire dans sa propre vie ...

Voilà le début surprenant de ce roman de Chick-litt. qui m'a définitivement réconciliée avec le genre ! Très bien écrit, il évite les clichés du genre. Certes, l'héroïne peut être qualifiée de légèrement " paumée " mais June gère sa vie, elle a un boulot, a eu des relations amoureuses et traverse une période de doute. Ok, elle a tendance à accumuler les gaffes mais ces faux pas sont naturels ! Ce qui la rend humaine, c'est finalement sa personnalité, elle qui passe sa vie à attendre que les bonnes choses lui arrivent. Jusqu'à maintenant, elle n'a pas osé provoquer le destin mais cet accident remet tout en question.
Comme très souvent, les personnages secondaires sont savoureux et présents pour soutenir June, à tel point que l'on rêve facilement de retrouver nous aussi une petite bande d'amis aussi géniaux. Comment ne pas avoir d'affection pour la jeune Deedee ou encore Martucci et sa queue de rat ?
Au-delà de la drôlerie de certains passages qui m'ont valu quelques bons fous rires (ce qui n'est pas si fréquent), je crois que June m'a donné un sacré conseil. Prendre sa vie en main, même pour des petits défis est une bonne chose. Quelque soit notre liste, l'important est de la garder à l'esprit et de tout mettre en œuvre pour en effectuer les différents points, tout au long de sa vie mais plus encore que le résultat et des notes barrées, c'est le chemin qui compte.

vendredi 1 mai 2009

les nouvelle de mister paul



Ils sont trois, vivent dans cette maison du Vermont et et luttent chacun contre la douleur : August, critique littéraire à la retraite, veuf et accidenté qui passe sa convalescence chez sa fille Miriam, brisée par un divorce dont elle peine à se remettre alors sa propre fille Katya, passe sa journée sur le canapé, à essayer d'oublier la mort violente de son ex petit ami en Irak...




La journée, le grand-père et sa petite-fille se refugient dans le cinéma, ne regardant que des "bons" films. La nuit, August, insomniaque échappe à ses démons en inventant des histoires de mondes parallèles notamment. Cette nuit-là, il crée le personnage d'Owen Brick qui se réveillerait dans une autre Amérique. Le 11 septembre n'existerait pas, La guerre en Irak ne serait donc pas mais différents états ayant fait sécession, le pays serait soumis à une terrible guerre civile.


Lire un roman de Paul Auster, c'est accepter de suivre une route, d'en prendre une autre et même de passer par quelques chemins de traverses. Les personnages et leurs pensées nous guident et le voyage se fait naturellement. Tout est cohérent, au final, l'impression de fouillis n'était que fugace. Paul Auster a le don de m'emmener là où je n'irais pas, seule. Ce qui ne me déplait pas du tout, bien au contraire !

Dans ce roman, les sujets sont nombreux. Il y a la guerre, la politique américaine, la place de l'homme dans l'Histoire, son attitude face aux conflits, ces histoires incroyables qui en ressortent. La place de l'imagination aussi, ce drôle de parcours que prend le cerveau pour imaginer de nouvelles fictions. Et la vie, tout simplement quand Katya vient interroger son grand-père sur son histoire avec sa grand-mère décédée, il y a peu. Ces échanges touchants sont ce que j'ai préféré. Simples mais justes, il est très facile de s'y retrouver. Notre histoire est différente mais les sentiments sont les mêmes. Oh, ce passage m'a transportée et émue !
citation à méditer:"Il y a tant de choses dans ce regard...Je ne m'en remets pas !"
Es ce que un regard peut faire un tel effet


merci mister paul