vendredi 26 novembre 2010

PENSEUSE PENSIVE

Pensive penseuse
possessive rêveuse
mais pas paraphraseuse
ni paresseuse
peut être un peu chipoteuse
jamais chiante
toujours insolente
jamais insultante
pensive penseuse
peut être le suis je...................

dimanche 21 novembre 2010

coup gueule !!!!!!!!! scandale

Distilbène : les laboratoires sont reconnus responsables

La Cour de cassation a confirmé, jeudi 24 septembre, la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques UCB Pharma et Novartis dans les maladies provoquées par le Distilbène, un médicament censé prévenir les fausses couches et distribué jusqu'en 1977 en France.

La plus haute juridiction française a cassé un arrêt rendu en avril 2008 par la cour d'appel de Versailles (Yvelines), qui déboutait une femme imputant son cancer à la prise par sa mère, durant sa grossesse, de Distilbène. La cour d'appel avait initialement donné tort à cette plaignante en concluant que rien ne prouvait que les laboratoires étaient à l'origine du dommage, même s'il était établi que la maladie résultait bien du Distilbène. La Cour de cassation rejette ce raisonnement en écrivant qu'"il appartient à chacun des laboratoires de prouver que son produit n'était pas à l'origine du dommage". L'affaire sera donc rejugée par la cour d'appel de Paris, qui fixera le montant des dommages et intérêts.

Pour Martine Verdier, avocate de 150 victimes du Distilbène, "c'est un renversement de charge de preuve extrêmement important", car "les jeunes femmes n'auront plus à faire la preuve de la spécialité à laquelle elles ont été exposées". Pour écouter, cliquez ici :

"C'est une victoire", estime Anne Levadou, la présidente du réseau DES France, qui soutient les personnes victimes de cette hormone de synthèse. "De nombreuses femmes malades d'un cancer lié au Distilbène vont pouvoir s'engager dans un nouveau combat et espérer obtenir gain de cause. Nous allons les informer."

Dans un autre arrêt, une plaignante qui se disait malade aussi en raison du Distilbène est en revanche déboutée, la Cour de cassation confirmant un arrêt de Versailles qui lui donnait tort en novembre 2007. Celle-ci relève dans ce cas précis le manque de preuves, la plaignante étant dans l'incapacité de prouver que sa mère avait pris du Distilbène pendant sa grossesse, alors que sa maladie peut avoir d'autres causes. Ces deux décisions confirment dans les grandes lignes une jurisprudence établie au début des années 2000 par les juridictions françaises, après de longues procédures. Déboutées sur ce point, les "filles Distilbène" ont toutefois remporté une victoire face aux laboratoires Novartis et UCB Pharma, qui fabriquaient la molécule.

"Il s'agit de deux arrêts contradictoires", s'étonne Mohamed Chaoui, le directeur général d'UCB Pharma, "l'un confirme que le plaignant doit apporter la preuve de l'origine du dommage, l'autre renverse la charge de la preuve. Il faudra retourner en appel", annonce-t-il.

IL EXISTAIT DÈS 1953 DES DOUTES SUR L'INNOCUITÉ DU DISTILBÈNE

Les laboratoires voient désormais leur responsabilité retenue par principe, si les preuves d'administration du Distilbène sont suffisantes, en raison d'un manque à leur obligation de vigilance concernant le produit litigieux. Des avertissements lancés dans la littérature médico-scientifique avaient largement établi sa dangerosité, ont conclu plusieurs juridictions françaises. Il existait dès 1953 des doutes sur l'innocuité du Distilbène, et de nombreuses études expérimentales et des observations cliniques en contre-indiquaient l'usage dès 1971.

Le Distilbène est une hormone de synthèse inventée en 1938, commercialisée en 1946 aux Etats-Unis et prescrite en France à partir de 1948 pour prévenir les avortements spontanés et traiter les hémorragies gravidiques (relatives à la grossesse). Dès 1953, une étude américaine conclut que ce médicament n'est pas plus efficace qu'un placebo pour éviter les fausses couches. Puis, en 1971, d'autres études menées aux Etats-Unis mettent en cause le DES dans la recrudescence des cancers du vagin chez les jeunes filles dont les mères avaient pris du Distilbène pendant leur grossesse. Cette alerte, qui constitue une bombe à retardement pour l'enfant à naître, conduit la Food and Drug Administration américaine à interdire l'usage du DES pour ses indications obstétricales.

En France, c'est l'indifférence. Le produit continue à être prescrit aux femmes enceintes jusqu'en 1977, date à laquelle le Vidal mentionne enfin ses effets néfastes. En 1981, une troisième vague d'études américaines démontre que le risque de cancer dû au DES serait de 1 pour 1 000, mais que les femmes exposées à ce médicament pendant leur vie intra-utérine présentent un risque élevé d'accidents de la grossesse (fausses couches pendant les premier et deuxième trimestres, grossesses extra-utérines, accouchements prématurés). L'association de victimes DES France évalue à 160 000 le nombre d'enfants exposés dans le pays, dont 80 000 femmes, qui sont les plus vulnérables.


Quantcast

Sampling completed at Mon Nov 22 2010 08:44:16 GMT+0100

mardi 16 novembre 2010

Raphael & Lavilliers la chanson de Prévert

CRI D ALARME bernard lavilliers

souvenir

Tant que je suis là,
Autant vous parler de ça,
Je l'ai croisé,
Sur le trottoir et fatigué.

On s'est regardé,
Le temps de se jauger.
Puis on est allé là bas,
Boire du café froid.

On a souri, je me souviens,
Puis tu m'as dit,
"Deux minutes et je reviens"
Tu n'as pas reparu, je suis parti.

Le monde s'est à nouveau éteint ici,
Je n'ai rien dit, par instinct de survie,
Par orgueil, pour ne pas agir en vain

une vie

une vie

une vie de c’est un fil de soi

qui file trop vite

ou se qui se défile

une vie qui coule

une vie qui roule

une vie qui part

et qui revient

une vie quoi ça tient

vraiment à rien


lundi 15 novembre 2010

comment dire

comment dire
je ne sais que dire
ni comment le dire
juste le sentiment étrange
que les deux première parties du livre de "ma" vie sont finis
comment transcrire cet état d'esprit
que la vie soit un livre ou un jeu carte des chapitre sont clos,
des parties sont fini
d'autres reste à écrire
à jouer
j'espère que je nai ni jouer
ni écrit les plus belles
ni jouer
pages et parties de ma vie

mardi 5 octobre 2010

longtemps longuement

ça faisait longtemps,ceux n'est pas que j'ai plus de questions , juste plus envie décrire deux mois et demi embryon de vie couple, un mois de séparation , des retrouvailles dans aéroport pour une parenthèse courte u
des découvertes , des rencontres une amitié à la distance qui danse dans mes pensées : distance balance entre présence & absences
je suis plus maître des kilomètre qui sépare mon coeur du tiens ils me bouffent la tête. des millards de je t'aime résonne dans le portable, des millions de bisous restent au chaud au creux de mes lévres pour toi la bande son dans automne est française comme dhab il ya des incontournable jj jacques alain guillaume vicent zazie les tube des années 80 S quelques nouveauté découvertes raphael , gaétan roussel & grand corp malade

mardi 7 septembre 2010

le philosphe nu


le philosophe nu ALEXANDRE JOLIENSComment vivre plus librement la joie quand les passions nous tiennent ? Comment oser un peu de détachement sans éteindre un coeur ? Eprouvé dans sa chair, Alexandre Jollien tente ici de dessiner un art de vivre qui assume ce qui résiste à la volonté et à la raison. Le philosophe se met à nu pour ausculter la joie, l'insatisfaction, la jalousie, la fascination, l'amour ou la tristesse, bref ce qui est plus fort que nous, ce qui nous résiste... Convoquant Sénèque, Montaigne, Spinoza ou Nietzsche, il explore la difficulté de pratiquer la philosophie au coeur de l'affectivité. Loin des recettes et des certitudes, avec Houei-neng, patriarche du bouddhisme chinois, il découvre la fragile audace de se dénuder, de se dévêtir de soi. Dans l'épreuve comme dans la joie, il nous convie à renaître à chaque instant à l'écart des regrets et de nos attentes illusoires. Cette méditation inaugure un chemin pour puiser la joie au fond du fond, au plus intime de notre être.

avis d'un internaute

J’aime beaucoup les livres d’Alexandre Jollien, ils font du bien à l’âme et sont comme des amis qui sentent quand on va mal et que l’on a besoin de soutien par une sorte de télépathie bienveillante. Ses livres tombent toujours au bon moment. J’ai aussi eu encore un peu plus de plaisir à lire ce philosophe en lisant par ci par là que la France et l’Europe vivent actuellement dans une dictature des faibles et des victimes qui seraient toujours défendus alors qu’on laisserait tomber les « forts » (par ici dans les réactions, il suffit d’encourager un peu, rien qu’un peu les imbéciles pour que ceux-ci révèlent finalement leurs opinions réelles, à savoir des gougnafiers uniquement préoccupés de leurs petites personnes). Cela ne me dérange pas quant à moi de me laisser mener par la voix d’Alexandre Jollien, au physique hors-norme, complètement à l’inverse des standards, que certains qualifient dans le secret de leur cœur ou devant tout le monde de « dégénéré ». L’auteur de ce livre est en effet né lourdement handicapé, pour lui des gestes simples sont des exploits dignes d’un athlète, ce qui relativise le mal-être que l’on peut parfois éprouver. Il serait profondément gêné cependant qu’on le choisisse comme maitre, il est d’ailleurs extrêmement confus d’entendre des dames dire qu’il les aurait aidées à « coacher », ou à gérer leur situation, leur vie selon les termes à la modes. Il ne veut pas d’élèves ou de disciples mais aider les autres à être plus libres en partant de son vécu avec délicatesse sans « coaching » lénifiant qui consiste surtout en l’étalage de lieux communs.
AVIS d'un internaute
Son ouvrage part d’un constatation simple, ses passions, sa sensibilité le poussent à réagir encore avec colère aux moqueries qu’il subit, ce qui est somme toute humain, du moins pour quelqu’un moins exigeant intellectuellement et spirituellement qu’Alexandre, et à envier le physique d’hommes plus chanceux que lui sur ce point, ou encore à désirer ardemment des objets qui ne lui apportent qu’une satisfaction brève, qu’un spasme de plaisir. Il recherche le détachement mais aussi à se libérer de ses pulsions qui ne sont que l’émanation de son animalité. En cela, il dépasse les bornes aux yeux de la société actuelle, non seulement alors qu’il est handicapé et qu’on l’imagine victime et désespéré, il est heureux en amour, père de deux enfants qu’il trouve plus sages que lui, ceux-ci lui rappelant que la philosophie est finalement chose futile quand elle prétend diriger les existences, fût-ce vers le bonheur, alors insoutenable car imposé. Et en plus il veut se libérer de cette course vers l’abîme sans fond du consumérisme et de l’objet-roi de notre société. Il aggrave un peu plus son cas sur le sujet rajouterais-je en ne se réclamant d’aucune idéologie ou théorie globalisante, il est d’autant plus libre et indocile mais sereinement et sans violences.


Il ne se sent pas plus fort que les autres pour surmonter et dominer ses passions, il avoue sa faiblesse à le faire, ses tentations, son incapacité à maitriser ses compulsions, dont celle de communiquer le plus souvent possible par internet ou par téléphone avec ses proches. Il est conscient de l’individualisme auquel nous pousse ce monde, de l’égocentrisme et de l’orgueil que peuvent impliquer son intelligence et sa liberté à ne pas obéir aux normes. Ce n’est pas qu’il arrive à ne juger personne, ou à ne pas faire preuve d’un humour sarcastique quand trois jeunes pimbêches se moquent ouvertement de ses gestes maladroits dans un bus. Ce n’est pas un pur esprit, un handicapé comme on les montre souvent dans les médias ou les livres, à savoir un être innocent et détaché, presque angélique car c’est toujours plus confortable de ne pas voir la personne handicapée comme humaine et donc affectée elle aussi de défauts.

samedi 3 juillet 2010

texte trouvés

Patience utile,


Ouvrir son coeur,


Un esprit zen,


Regard tourné vers l'extérieur,


Ecoute fondamentale,


Travail sur soi quotidien,


Respirer amplement du ventre,


Energies maitrisées,


Qui se prétend ainsi ?


Un homme tel que moi,


Erreur fatale si je le pensais,


Le chemin sera long, semé d'embûches,


Quand "être quelqu'un" ?


Un geste, un sourire, un mot, permettent d'avancer,




ce texte est d'un ami croiser virtuellement olivier

vendredi 4 juin 2010

mon avis

Conférence du 31 05 2010

PRESENTATION DE L'ouvrage d'ariela palacz «  je taime ma fille, je t'abandone »
En général je n'aime pas aller à une présentation d'ouvrage sans l'avoir lu: mais la ce fut différent
c'était dans le cadre de l'association le titre de l'ouvrage m'interpellais la mention du noms de Boris cyrulnik en préfacier.
j'avais lu déjà beaucoups de livres traitant de ce thêmes le sort des juifs pendant la guerre dans notre pays ou en europe la thématique m'intéressé de part ma formation et touché ma sensibilité
voilà l'état d'esprit dans lequels je me trouver avant d'arriver à cette soirée.
J'arrivais à l'association l'auteur était déjà là l'assistance n'était pas fournit je me dis que ce serait plus convivial
La présidente pris la parole pour nous présentait l'auteur et son editeur, elle nous explique qu ce récit l'as touché, elle voulait nous faire partager cette émotion
c'étai un aspect m'éconnu par moi de la question qui était abordée dan ce récit
Cette femme frêle mais pleine energie commence par nous compter une enfance heureuse en France à Paris ou ses parents qui avaient la fuit Pologne pour s'établir en France où il fondérent une famille dans le pays des droits de l'hommes valeur universelle en la quelle je crois. Bien sur je savais la montée du nazisme dans notre pays , le régime vichy , l'étoile jaune les lois antijuives j'ai lu tants d'ouvrage sur cette question , vu tants films mais j'avais abordé cette question à travers les yeux d'une petite de huit ans qui regarde cette horreur sans vraiment comprendre «  la guerre c'est une chose adulte » jusqu'au au déchirement la séparation d'avec ses parents la petite ne comprend pas . Et là je compatis et me pose de questions aurais je compris à son âge je crois pas
là voilà dans Paris en pleine nuit
l'espoir de revoir ses parents l'as feras tenir et passer à travers maintes péripétie l'instinct de survie la pousse à nié elle même jusqu'au abdiqué sa culture et son éducation par obligation
elle ira jusqu'au se trouver bête et sale
je pense que les enfants croient ceux qu'on leur dit donc elle croyait ceux les gens de l'assistance voulais lui faire croire
cette petite fille avaient deux obsession selon ne pas dire nié son id enté et se cacher en plus la famille d'accueil était antisémite donc il fallait qu'elle nie sa culture comment une fillette peut arriver à faire ce chemin là
même après cette négation elle retrouvera son père mais continuera à la nié jusqu'à lâge adulte
un éclair dans le ciel l'as rendu elle même
j'ai apprécié cette approche de la question puisque les questions de quête d'identité ou plus exactement dans ce cas , il s'agit d'un retrouvage d'indenté au point de quitter un pays quil a força à dépouiller de son être profond comment la France a pu faire une telle chose comment avons nous pour faire une telle choses nié l'identité de milliers de personnes et d'enfants dans le être plus profond une occasion de plus de ne pas être fier être française

lundi 31 mai 2010

LIVRE BOULVERSANT

je t'aime ma fille je t'abandonne ARIELA PALACZ

"Ça alors ! Je pensais lire l’autobiographie d’Ariela Palacz et je découvre avec stupéfaction que c’est la mienne qu’elle a écrite !" C’est par ces mots que le Dr Boris Cyrulnik ouvre sa préface au livre d’Ariela Palacz. Car comme Cyrulnik, Ariela, à l’âge de 8 ans a été abandonnée à l’Assistance publique afin de la sauver de ceux, nazis et complices français, qui appliquaient la "solution finale" dans l’hexagone. Comme le spécialiste de la résilience le souligne, ce n’est pas le seul parallèle qui se retrouve dans le témoignage à la fois lucide et émouvant que présente ce livre. Et il conclut par ces mots : "J’ai admiré l’authenticité d’Ariela Palacz, son style élégant, la clarté de ses idées : jamais je n’oserais être aussi honnête qu’elle. Voilà enfin, une petite différence !".

Née à Paris, dans une de ces familles juives polonaises qui se sont installées dans le pays des droits de l’homme, Ariela est abandonnée en 1942 par son père qui voit dans ce geste le seul moyen pour sauver ses enfants. Son identité se brise entre ses dissimulations dans sa famille adoptive et la découverte de la mort de sa mère et de la majorité de sa famille, lorsqu’elle retrouve son père en 1945. Elle vit aujourd’hui à Jérusalem où elle témoigne de son histoire et de son identité retrouvée.

En postface, le Dr Michel Caire rapporte l’histoire oubliée des 40 000 malades mentaux morts de carence en France, et parmi eux la mère d’Ariela Palacz.

mardi 4 mai 2010

chanson de jacques H

Parole J't'aime Telle
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
#
Recherche dans Parolesmania: Artiste Titre
Paroles J't'aime Telle
Jacques Higelin

Art


J't'aime telle
Telle que t'es
J't'aime telle
Tellement tu sais
Tellement tu sais si bien
D'un sourire ou d'un geste
Pleins.. de grâce
Eloigner les angoisses
De la nuit qui s'efface
Devant le jour... qui vient

J't'aime telle
J't'aime telle que t'es
J't'aime telle
Tellement tu vois
Tellement tu vois
Que même
Si mon destin m'entraîne
Souvent trop loin
Je suis toujours à toi
Relié par les antennes
De notre amour... serein

Rien ne s'oppose à ton désir
D'offrir à la vie
Toutes les chances
De s'épanouir en libérant
Les forces vives et les élans
De ton énergie flamboyante

Le rock te colle à la peau
La rage au coeur
Le diable au corps
Les ailes qui te poussent dans le dos
T'aideront à prendre ton envol

J't'aime telle
Telle que t'es
J't'aime telle
Tellement tu sais
Tellement tu sais si bien
D'un sourire ou d'un geste
Pleins.. de grâce
Apaiser mes colères
Et d'un sourire divin
Ensoleiller... mon coeur

T'as appris quelques longueurs d'avance
Sur tes devoirs d'adolescence
Et j' vois fleurir une si belle plante
Qu'à cette heure je me demande
Qu'est-ce que j'vais devenir sans elle

Le rock te colle à la peau
La rage au coeur
Le diable au corps
T'as le feu dans l'âme et les os
Ta voix est claire comme un flambeau

J't'aime telle
J't'aime telle que t'es
J't'aime telle
Tellement tu sais
Mon enfant mon amour

mercredi 31 mars 2010

playdoyer pour une litt&rature de langu française et en langue langue

peine l'effervescence suscitée par le Salon du livre francophone était-elle retombée, en mars 2007, qu'un gros pavé tombait dans la mare : le manifeste "Pour une littérature-monde en français", lancé par Jean Rouaud et Michel Le Bris, fondateur du festival Etonnants voyageurs. Signé par quarante-quatre écrivains, dont JMG Le Clézio, Tahar Ben Jelloun, Edouard Glissant, Amin Maalouf, Maryse Condé, Lyonel Trouillot ou Nimrod, ce manifeste annonçait la naissance d'une littérature-monde en langue française et, par voie de conséquence, la mort de la francophonie.Il est vrai qu'il recouvre des réalités bien différentes : géolinguistique à l'origine - le terme fut créé en 1880 par le géographe Onésime Reclus, dans un contexte clairement colonial ; politique après les indépendances de 1965 ; et bien sûr littéraire et artistique. Or, en la matière, force est de constater que ce mot, par trop connoté, semble bien étroit face à une sphère qui dépasse celle délimitée par les instances de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF). Car s'y regroupent, outre des écrivains des ères francophones proprement dites (africaine, caribéenne, américaine, moyen-orientale et asiatique), tels Boualem Sansal, Gary Victor, Nelly Arcan, Charif Majdalani ou François Cheng, des auteurs comme Milan Kundera, Hector Bianciotti, Anne Weber ou Jonathan Littell, qui ont choisi le français comme langue d'expression. Une langue que ces créateurs ont forgée bien souvent au contact d'une autre langue, au sein de contextes historique, politique, social et économique fort différents.
Un pied dedans, un pied dehors. Tel semble être depuis l'origine le sort réservé aux écrivains francophones. Et ce malgré les efforts de l'abbé Grégoire, qui, dès 1808, lançait, dans De la littérature des nègres, un vif plaidoyer pour une littérature étrangère de langue française reconnue, acceptée et accueillie au sein de la littérature française. Deux cents ans ont passé et la problématique demeure presque inchangée.

source le monde de livres

jeudi 25 mars 2010

ACTU SALON DU LIVRE c ce week end

la République des Lettres
Salon du Livre Salon du Livre
Salon du Livre
Salon du Livre
Salon du Livre
Salon du Livre de Paris : Présentation, Chiffres, Historique, Invités.
Par Noël Blandin / La République des Lettres, mercredi 18 mars 2009.

Le Salon du Livre de Paris, créé en 1981 par le Syndicat National de l'Édition (qui en tire un tiers de ses revenus annuels), a lieu à Paris chaque année au mois de mars. Ce grand rendez-vous annuel du monde de l'édition et de la librairie française était initialement installé au Grand Palais. Depuis 1992 il se tient dans le hall 1 du Parc des Expositions de la Porte de Versailles (Paris 15e) sur un espace d'environ 50.000 m2. Chaque édition du Salon du Livre de Paris est consacrée à une langue ou à un pays invité: Portugal en 2000, Allemagne en 2001, Italie en 2002, Flandre & Pays-Bas en 2003, Chine en 2004, Russie en 2005, Francophonie en 2006, Inde en 2007, Israël en 2008, Mexique en 2009. L'organisation du Salon du Livre est assurée par la société Reed Expositions France (filiale de Reed Elsevier) sous l'égide du SNE.
Le Salon du livre de Paris accueille entre 1.000 et 1.200 stands de maisons d'édition. La majorité des éditeurs présents sont français mais l'on compte aussi en moyenne 25 pays étrangers représentés à travers divers stands collectifs. En raison du coût très élevé de location des stands (de l'ordre de 5.000 euros le m2) de nombreuses petites maisons d'édition françaises ne peuvent plus être directement présentes sur le salon. Elles s'associent pour louer un stand à plusieurs ou participent à des stands collectifs loués par des organismes culturels régionaux. Quelque 1.500 à 2.000 auteurs viennent dédicacer leurs ouvrages auprès d'un public qui varie selon les années de 150.000 à 250.000 visiteurs, le nombre d'entrées ayant fortement chuté depuis quelques années. Les deux tiers des visiteurs sont constitués de professionnels des métiers du livre -- libraires, éditeurs, bibliothécaires, etc -- et de scolaires (classes d'établissements primaires et secondaires). Les entrées payantes, généralement assez chères (10 euros), représentent désormais moins d'un tiers des visiteurs.
• Chiffres d'entrées du Salon du Livre de Paris:
Portugal, 20e édition du 17 au 22 mars 2000: 241.000 visiteurs. Allemagne, 21e édition du 16 au 21 mars 2001: 235.000 visiteurs. Italie, 22e édition du 22 au 27 mars 2002: 219.000 visiteurs. Flandre & Pays-Bas, 23e édition du 21 au 26 mars 2003: 185.000 visiteurs. Chine, 24e édition du 19 au 24 mars 2004: 185.000 visiteurs. Russie, 25e édition du 18 au 23 mars 2005: 165.000 visiteurs. Francophonie, 26e édition du 17 au 22 mars 2006: 174.000 visiteurs. Inde, 27e édition du 23 au 27 mars 2007: 180.000 visiteurs. Israël, 28e édition du 14 au 19 mars 2008: 165.000 visiteurs. Mexique, 29e édition du 13 au 18 mars 2009: 198.000 visiteurs.
• Bilan négatif pour le Salon du Livre 2008:
Malgré un jour d'ouverture en plus, une intense campagne de publicité, des dizaines de milliers d'entrées distribuées gratuitement dans les établissements scolaires et une couverture médiatique exceptionnelle, l'édition 2008 du Salon du Livre de Paris consacrée à Israël a enregistré une forte baisse de fréquentation avec seulement 35.000 visiteurs payants et une chute de 20% par rapport aux années précédente et suivante. Ce Salon a sans doute payé la politisation du rendez-vous, les organisateurs et les autorités françaises ayant décidé de célébrer sous couverture de rencontre littéraire le 60e anniversaire de création de l'Etat hébreu malgré sa politique d'apartheid, ses crimes de guerre et ses incessantes violations des Droits de l'Homme et du Droit humanitaire international. Du coup, de nombreux intellectuels et la plupart des organisations d'écrivains et d'éditeurs des pays arabes ont boycotté l'évènement à titre de soutien au peuple palestinien. L'autre élément négatif ayant entrainé le déclin des visites est sans doute aussi la sécurisation israélienne à outrance qui a transformé le Parc des expositions de la Porte de Versailles en quasi forteresse assiégée, chaque visiteur étant considéré comme un terroriste en puissance. La présence stressante de milliers d'agents de sécurité en tous genres (vigiles, gendarmes, policiers en civils, CRS, chiens policiers, etc), ainsi que les fouilles, les contrôles et les longues files d'attente à l'entrée (souvent sous la pluie) dûes à ces mesures de sécurité ont découragé pas mal d'amateurs de livres. Cette paranoïa militaro-policière n'a d'ailleurs pas évité les incidents puisque le président israélien Shimon Peres a failli recevoir un panneau sur la tête lors d'une inauguration mouvementée qui a fait plusieurs blessés et qu'une alerte à la bombe -- fausse alerte, mais néanmoins la première dans l'histoire du Salon du livre -- a entraîné l'évacuation du public dans la journée du dimanche 16 mars.
• Invités d'honneur du Salon du Livre de Paris:
Portugal (2000): Almeida Faria, Antonio Franco Alexandre, Teolinda Gersao, Fernando Gil, Vasco Graça Moura, Manuel Gusmao, Fiama Hasse Pais Brandao, Herberto Helder, Lidia Jorge, Nuno Judice, Ana Mafalda Leite, Eduardo Lourenço, Antonio Lobo Antunes, Jacinto Lucas Pires, Helder Macedo, Antonio Mega Ferreira, Sophia de Mello Breyner Andersen, Joao de Melo, Jose Manuel Mendes, Rui Nunes, Maria do Rosario Pedreira, Inês Pedrosa, Manuel Antonio Pina, Carla Pinto Correia, Fernado Pinto do Amaral, Antonio Ramos Rosa, Jose Riço Direitinho, Pedro Rosa Mendes, Jose Saramago, Carlos Reis, Armando Silva Carvalho, Pedro Tamen, Urbano Tavares Rorigues, Jose Tolentino Mendonça, Maria Velho da Costa, Alice Vieira. Allemagne (2001): Jakob Ajourni, Lothar Baier, Jutta Bauer, Sybille Berg, Marcel Beyer, Pieke Bierman, Bastian Böttcher, Braun Volker, Quint Buchholtz, Karl Dedecius, Roza Domascyna, Doris Dörrie, Wolf Erlbruch, Mario Giordano, Günther Grass, Ingeborg Hecht, Christoph Hein, Judith Hermann, Wolfgang Hilbig, Barbara Honigman, Felicitas Hoppe, Hanna Johansen, Georg Klein, Thomas Kling, Ole Könnecke, Helmut Krausser, Michael Krüger, Michael Kumpfmüller, Benjamin Lebert, Perikles Monioudis, Herta Müller, Elke Naters, Jose Oliver, Inka Parei, Christoph Peters, Matthias Politycki, Katrin Schmidt, Peter Schneider, Raoul Schrott, Ingo Schultze, Zafer Senocak, Peter Sloterdijk, Birgit Vanderbecke, Alissa Walzer, Feridun Zaimoglu. Italie (2002): Marcello Fois, Silvana Gandolfi, Cesare Garboli, Giordano Bruno Guerri, Roberto Innocenti, Fleur Jaeggy, Raffaele La Capria, Rosetta Loy, Carlo Lucarelli, Mario Luzi, Valerio Magrelli, Claudio Magris, Dacia Maraini, Giovanni Mariotti, Giorgio Montefoschi, Giuliana Morandini, Piergiorgio Odifreddi, Tommaso Padoa Schioppa, Santo Piazzese, Claudio Piersanti, Bianca Pitzorno, Roberto Piumini, Giuseppe Pontiggia, Giorgio Pressburger, Giovanni Raboni, Elisabetta Rasy, Stefano Ricci, Mario Rigoni Stern, Edoardo Sanguineti, Tiziano Scarpa, Emanuele Severino, Susanna Tamaro, Patrizia Valduga, Sandro Veronesi, Marisa Volpi, Andrea Zanzotto. Flandre & Pays-Bas (2003): Kader Abdolah, Abdelkader Benali, Hafid Bouazza, Oscar van den Boogard, H.M. van den Brink, Hugo Claus, Adriaan van Dis, Renate Dorrestein, Anna Enquist, Carl Friedman, Jef Geeraerts, Arnon Grunberg, Hella Haasse, Maarten 't Hart, Kristien Hemmerechts, Stefan Hertmans, Moses Isegawa, Eric de Kuyper, Karel Glastra van Loon, Ivo Michiels, Margriet de Moor, Marcel Möring, Erwin Mortier, Harry Mulisch, Cees Nooteboom, Connie Palmen, Leon de Winter, Keizer Bert, Jozef Deleu, Tijs Goldschmidt, Geert van Istendael, Lieve Joris, Wim Blokmans, Dirk de Vos, Benno Barnard, Stefaan van den Bremt, Arjen Duinker, Rutger Kopland, Gerrit Kouwenaar, Leonard Nolens, Miriam Vanhee, Jan Fabre, Tom Lanoye, Peter Verhelst, Carl Cneutt, Gerda Dendooven, Guus Kuijer, Joke van Leeuwen, Ted van Lieshout, Brigitte Minne, Bart Moeyaert, Anne Provoost, Toon Telleger, Gerrie Hondius, Benoît van Innis, Marvano, Johan de Moor, Willem. Chine (2004): Han Shaogong, Jiang Yun, Jiang Zidan, Jin Jianfan, Li Rui, Liao Zixin, Liu Jianwei, Liu Xinglong, Liu Xinwu, Mo Yan, Pan Qi, Su Tong, Tie Ning, Yu Hua, Zhang Ping, Zhang Shengyou, Zhang Wei, Zhang Yu, Leung Ping-Kwan, Tao Ran, Wong Pok, Chen Li, Chu Tien-wen, Huang Fan, Hwang Chun-ming, Li Ang, Bei Dao, Yang Lian, Duo Duo. Russie (2005): Boris Akounine, Svetlana Alekseievitch, Vassili Axxionov, Serguei Bolmat, Dmitri Bortnikov, Dmitri Bykov, Andreï Bitov, Vladimir Charov, Mikhaïl Chichkine, Andreï Dmitriev, Assar Eppel, Victor Erofeev, Evgueni Grichkovets, Andreï Guelassimov, Leonid Guirchovitch, Natalia Jouravliova, Alexandre Kabakov, Mark Kharitonov, Nikolaï Kononov, Anatoli Koroliov, Alexandre Kouchner, Vladimir Makanine, Iouri Mamleiev, Alexandra Marinna, David Markish, Irina Mouravieva, Anatoly Nayman, Ludmila Oulitskaia, Oleg Pavlov, Viacheslav Pietsoukh, Evgueni Popov, Dmitri Prigov, Lev Rubinstein, Olga Sedakova, Alexei Slapovski, Olga Slavnikova, Vladimir Sorokine, Tatiana Tolstoi, Serguei Tioutiounik, Marina Vichnevetskaia, Andreï Voznessenski, Leonid Youzefovitch. Francophonie (2006): Dimitri Analis (Grèce), Hélé Beji (Tunisie), Rajae Benchemsi (Maroc), Maïssa Bey (Algérie), Florent Couao-Zotti (Bénin), Denis Deprez (Communauté française de Belgique), Boubacar Boris Diop (Sénégal), Alfred Dogbe (Niger), Emmanuel Dongala (Congo), Awumey Edem (Togo), Letitia Ilea (Roumanie), David Jaomanoro (Madagascar), Mukala Kadima-Nzuji (République démocratique du Congo), Ken Bugul (Sénégal), Agota Kristof (Hongrie), Caroline Lamarche (Communauté française de Belgique), Were-Were Liking (Cameroun), Michel Layaz (Suisse), Alain Mabanckou (Congo), Charif Majdalani (Liban), Kettly Mars (Haïti), Samuel Millogo (Burkina Faso), Anna Moï (Vietnam), Wajdi Mouawad (Liban), Esther Mujawayo (Rwanda), Samputho Nantarayao (Cambodge), Mbareck Ould Beyrouck (Mauritanie), Barlen Pyamootoo (Maurice), Noëlle Revaz (Suisse), Grzegorz Rosinski (Pologne), Boualem Sansal (Algérie), Lambert Schlechter (Luxembourg), Gaëtan Soucy (Québec), Jean-Philippe Stassen (Communauté française de Belgique), Véronique Tadjo (Côte d'Ivoire), Serge-Patrice Thibodeau (Canada Nouveau Brunswick), Yasmina Traboulsi (Liban), Gary Victor (Haïti), Guillaume Vigneault (Québec), Chehem Watta (Djibouti). Inde (2007): U.R Anantamurthy, Rupa Bajwa, Sarnath Banerjee, Shyam Bhajju, Urvashi Butalia, Upamanyu Chatterjee, Amit Chaudhuri, Abha Dawesar, Shashi Deshpande, Gita Hariharan, Mushirul Hasan, Ruchir Joshi, Sudhir Kakar, Sunil Khilnani, Gopi Chang Narang, Anita Rau Badami, Lavanya Sankaran, Alka Saraogi, K. Satchidanandan, Irwin Allan Sealy, Vikram Seth, Ravi Shankar Etteth, Kalpana Swaminathan, Tarun Tejpal, Shashi Tharoor, Altaf Tyrewala, Krishna Baldev Vaid, Udaian Vajpeyi, Pavan K. Varma, M.T. Vasuderan Nair. Israël (2008): Elie Amir, Aharon Appelfeld, Gabriela Avigur-Rotem, Benny Barbash, Ron Barkaï, Orly Castel-Bloom, Lizzie Doron, Israël Eliraz, Haïm Gouri, Michal Govrin, David Grossman, Amir Gutfreund, Alon Hilu, Shifra Horn, Miron C. Izakson, Sayed Kashua, Judith Katzir, Etgar Keret, Alona Kimhi, Ron Leshem, Savyon Liebrecht, Mira Maguen, Edna Mazya, Sami Michaël, Agi Mishol, Rutu Modan, Eshkol Nevo, Rony Oren, Amos Oz, Israël Pincas, Igal Sarna, Aaron Shabtaï, Meir Shalev, Zeruya Shalev, Youval Shimoni, Ronny Someck, Zvi Yanaï, Avraham B. Yehoshua, Nurit Zarchi, Boris Zaidman. Mexique (2009): Homero Aridjis, Hector Aguilar Camín, José Agustín, Mario Bellatin, Carmen Boullosa, Gonzalo Celorio, Elsa Cross, Briceida Cuevas Cob, Fernando Del Paso, Álvaro Enrigue, Ximena Escalante, Guillermo Fadanelli, Carlos Fuentes, Vilma Fuentes, Ana García Bergua, Margo Glantz, Sergio González Rodríguez, Mario González Suárez, Vicente Leñero, Pura López Colomé, Alain-Paul Mallard, Héctor Manjarrez, Angeles Mastretta, Fabrizio Mejía Madrid, Carlos Monsivais, Carlos Montemayor, Fabio Morabito, Guadalupe Nettel, Ignacio Padilla, Sergio Pitol, Elena Poniatowska, Juan Gregorio Regino, Alberto Ruy-Sánchez, Daniel Sada, Jaime Alfonso Sandoval, Enrique Serna, Tomás Segovia, Martín Solares, Jordi Soler, Paco Ignacio Taibo Ii, David Toscana, Alvaro Uribe, Juan Villoro, Jorge Volpi.
• Salon du Livre 2010:
En 2010, pour le 30e anniversaire de la manifestation, le Salon du livre n'aura pas de pays invité, comme c'est la tradition, mais mettra à l'honneur tous "les écrivains", qu'ils soient français ou étranger

ceux ne sera pas pour cette année : cette année ce sera manif

jeudi 11 mars 2010

la decenie

- la chanson de la décennie: les petits chapeaux parce que.......................................

- l'album de la décennie

- le film de la décennie paris , l'auberege espagnole

- la série de la décennie friends

- le livre de la décennie 1984 D'orwell quoi ben

- l'invention technologique de la décennie ordinteur portable

- l'homme politique de la décennie non pas lui

- le dictateur de la décennie berlusconi

- l'action sociale de la décennie BOF

- l'évènement historique de la décennie le 11 09

- la personne qui vous insupporte de la décennie BUSH

- le mot de la décenniei indépendance

- l'évènement personnel marquant de la décennie mon appart

- le produit allemand de la décennie diddl

- la chanson de JJG de la décennie (vous vous rappelez? Il chantait encore à l'époque)

- Votre regret de la décennie mon ratage de capes 5 Fois

- Votre joie de la décennie l'amour le vrai enfin je crois

- comment vous vous voyiez il y a dix ans alors qu'au final...
j'étais à la fac et chez mes parents aujourdhui appart à moi & bénévolat

dimanche 21 février 2010

complexité

un de mes mots préférés de la langue française: complexité adjectif , ou adverbe tiens d'ailleurs trés bonne question nature du mot complexité complexité de la nature
la complexité pour dire pas la complication à toujours fait parti de ma vie
Elle aurait être une ennemie juré je l'aie apprivoisé pas un point de m"en faire une amie quoi que j'adore le complexité que serait ma vie sans elle franchement je sais
suis je une fille complexe ceux ci ne serait pas un pléonasme fille complexe ou pleines de complexes ça non adolescence est fini quoi que .......................
la complexité est en moi génétiquement merci pour hérédité je suis une fille atypique être atypique veut il dire être complexe là est la complexité de la question

samedi 20 février 2010

film que j'ai failli voir


faut avoir conscience de ce que qu'on achète et ne pas s'étonner en cas d'indigestion. Le film de Garry Marshall est à prendre exactement pour ce qui l'est. Un concentré de comédie romantique où le manque d'originalité et de surprises est voilé par une vague de visages plus ou moins connus et une succession d'histoires empilées les unes sur les autres.
S'il y a bien une chose difficilement reprochable à Garry Marshall et ses scénaristes - responsables de Ce que pensent les hommes, autre chassé-croisé sentimental porté par un casting étonnant - ce sont leurs efforts pour toucher absolument tout le monde. Les adolescents à la recherche de leur première expérience sexuelle, les célibataires endurcis et hystériques, les rêveurs naïfs, les romantiques idéalistes, les homosexuels, les quinquagénaires, les menteurs, les étrangers, et même les enfants. Rien ni personne n'échappe à la tornade lorsque celle-ci décide de s'attaquer à l'amour avec un grand A. Avec la simplicité charmante et la grossièreté affligeante qu'on lui connaît, la machine hollywoodienne écrase tout sur son passage. Toutes les femmes sont forcément et incroyablement sexy, tous les hommes sont des beaux gosses, et ponctuellement, les personnages satellites - Queen Latifah, George Lopez, Carter Jenkins - viennent nous rappeler que nous sommes bien dans le monde réel. Mais n'est-ce pas justement ce que l'on attend d'un film comme Valentine's Day ? Vendre l'idée d'un monde où tout va bien et où même les pires situations ne sont qu'une étape vers quelque chose de grandiose ? Armé d'un casting absolument terrifiant qui réunit les valeurs sûres - Julia Roberts, Jamie Foxx, Kathy Bates, Shirley MacLaine - et montantes - Anne Hathaway, Ashton Kutcher - mais aussi les bombes du moment - Jessica Biel et Alba, Jennifer Garner - et les stars à la mode - Bradley Cooper, Eric Dane, Patrick Dempsey, Taylor Lautner, Taylor Swift - le film ne laisse presque aucun autre choix que celui de succomber, les yeux grands ouverts, la bave aux lèvres presque, à un défilé de situations banales portées par des comédiens au fort capital sympathique. Chacun y trouvera son compte et aura quelque chose à se mettre sous la dent.
Mais même avec la meilleure volonté du monde, force est de constater que cette Saint Valentin a un arrière goût de réchauffé. Impossible de ne pas être gêné par un déballage de sentiments et de situations tellement attendues qu'elles en deviennent ridicules. Ce n'est pas tant la redondance des thématiques qui épuise - être trahi, être déçu, être seul, être différent - mais la manière dont les scénaristes s'évertuent à appuyer lourdement chaque scène par une musique insupportable et des dialogues appuyés. Les acteurs n'ayant déjà qu'une place très limitée pour exister - la faute à 2h de film qui s'évertue à caser un maximum d'éléments pour gagner un maximum de public - certains doivent en plus subir un manque cruel d'imagination - Patrick Dempsey en chirurgien amoureux de deux femmes, Queen Latifah en femme de caractère, Jamie Foxx en fan de sport. Heureusement pour les plus exigeants qui se sont laissés traîner de force, quelques idées plus drôles parsèment le film - Jessica Biel, Anna Hathaway, et quelques pistes discrètes.


Ceux qui liront cette critique ne cherchent pas une autre raison d'aller voir Valentine's Day que pour ce qu'il est, à savoir un produit de consommation à grande échelle
Ceux qui liront cette critique ne cherchent pas une autre raison d'aller voir Valentine's Day que pour ce qu'il est, à savoir un produit de consommation à grande échelle - Garry Marshall prépare d'ailleurs une suite autour d'un réveillon à New-York. Et c'est simplement comme cela qu'il doit être vu : une sucrerie innocente, indolore, incolore et oubliable, dont le seul but est d'amuser son spectateur, simplement et honnêtement, à la manière d'un Love Actually. Si le cinéma devait se résumer à cela, il en deviendrait immédiatement culte. Pour le coup, Valentine's Day se contentera d'offrir un petit moment agréable.
un film sucré à souhait comme je les aime mais impossible dy aller merci handilib

mardi 2 février 2010

envie de lecture

L'ATTRAPE-CŒURS, livre de Jerome David Salinger

L'Attrape-Cœurs, unique roman de l'écrivain américain Jerome David Salinger (né en 1919), est un livre maudit. Lorsqu'il parut en 1951, il fut banni des bibliothèques, exclu des programmes d'étude. On entendait ainsi museler la parole subversive de son héros, Holden Caulfield, cet adolescent en crise qui anticipe son éviction scolaire pour vagabonder en noctambule dans les beaux quartiers de New York.
Privé de lieu propre, Holden, qui a fugué du collège, erre pendant trois jours de chambre d'hôtel en boîte de jazz, de bar en hall de gare : « On m'a donné une chambre pourrie, avec comme vue par la fenêtre l'autre côté de l'hôtel. De la vue ou pas de vue, je m'en tamponnais. J'étais trop déprimé pour que ça me touche. Le groom qui m'a conduit à ma piaule était un très vieux type, dans les soixante-cinq piges. Je l'ai trouvé encore plus déprimant que la chambre pourrie. » Héritier du Werther de Goethe et d'Huckleberry Finn, le jeune héros de Mark Twain, Holden dénonce au passage le conformisme d'une société matérialiste qui affiche les marques de son progrès pour mieux cacher les symptômes de son angoisse. La  […]
… pour nos abonnés, l'article se prolonge sur 1 page…
Autres références
« L'ATTRAPE-COEURS, Jerome David Salinger » est également traité dans :
SALINGER JEROME DAVID (1919- )
Auteur :  Jean-Paul ROSPARS
*Idole d'une génération de lecteurs américains, les adolescents de la classe moyenne dans les années 1950, J. D . Salinger représente à la fois un phénomène littéraire et socioculturel. En tête des personnages que son public a dotés d'une vie autonome, le héros de son roman L'Attrape-cœurs (The Catcher in the Rye, 1951),

dimanche 10 janvier 2010

une chanson qui fait réfléchir

[ Maxime Le Forestier :
La vie d'un homme (1975) ]
ceux qui sont dans la moyenne,
A ceux qui n’ont jamais volé,
A ceux de confession chrétienne,
A ceux d’opinion modérée,
A ceux qui savent bien se plaindre,
A ceux qui ont peur du bâton,
A tous ceux qui n’ont rien à craindre,
Je dis que Pierre est en prison.

Dormez en paix, monsieur le juge.
Lorsque vous rentrez du travail,
Après le boulot, le déluge,
Tant pis pour les petits détails.
Aujourd’hui, cette affaire est close.
Une autre attend votre réveil.
La vie d’un homme est peu de chose
A côté de votre sommeil.

Soyez contents, jurés, notables,
Vous avez vengé proprement
La vie tristement respectable
Que vous meniez depuis longtemps.
Qu’on vous soit différent suppose
Par obligation qu’on ait tort.
La vie d’un homme est peu de chose
A côté de votre confort.

Soyez satisfait, commissaire,
Vous n’avez pas été trop long
Pour mettre un nom sur cette affaire.
Tant pis si ce n’est pas le bon.
Tant pis si chez vous, on dispose
De moyens pas toujours très clairs.
La vie d’un homme est peu de chose
A côté d’un rapport à faire.

Rassurez-vous, témoins du drame,
Qui n’étiez pas toujours d’accord
Puisqu’aujourd’hui on le condamne
C’est donc que vous n’aviez pas tort.
Vous êtes pour la bonne cause.
Vous avez fait votre devoir.
La vie d’un homme est peu de chose
A côté de votre mémoire.

Tu n’aimes pas la pitié, Pierre,
Aussi je ne te plaindrai pas.
Accepte juste ma colère,
J’ai honte pour ce peuple-là.
Je crie à ceux qui se reposent,
A ceux qui bientôt t’oublieront.
La vie d’un homme est peu de chose
Et Pierre la passe en prison.


extrait de l'album
"Saltimbanque" (Polydor, 1975)