dimanche 21 février 2010

complexité

un de mes mots préférés de la langue française: complexité adjectif , ou adverbe tiens d'ailleurs trés bonne question nature du mot complexité complexité de la nature
la complexité pour dire pas la complication à toujours fait parti de ma vie
Elle aurait être une ennemie juré je l'aie apprivoisé pas un point de m"en faire une amie quoi que j'adore le complexité que serait ma vie sans elle franchement je sais
suis je une fille complexe ceux ci ne serait pas un pléonasme fille complexe ou pleines de complexes ça non adolescence est fini quoi que .......................
la complexité est en moi génétiquement merci pour hérédité je suis une fille atypique être atypique veut il dire être complexe là est la complexité de la question

samedi 20 février 2010

film que j'ai failli voir


faut avoir conscience de ce que qu'on achète et ne pas s'étonner en cas d'indigestion. Le film de Garry Marshall est à prendre exactement pour ce qui l'est. Un concentré de comédie romantique où le manque d'originalité et de surprises est voilé par une vague de visages plus ou moins connus et une succession d'histoires empilées les unes sur les autres.
S'il y a bien une chose difficilement reprochable à Garry Marshall et ses scénaristes - responsables de Ce que pensent les hommes, autre chassé-croisé sentimental porté par un casting étonnant - ce sont leurs efforts pour toucher absolument tout le monde. Les adolescents à la recherche de leur première expérience sexuelle, les célibataires endurcis et hystériques, les rêveurs naïfs, les romantiques idéalistes, les homosexuels, les quinquagénaires, les menteurs, les étrangers, et même les enfants. Rien ni personne n'échappe à la tornade lorsque celle-ci décide de s'attaquer à l'amour avec un grand A. Avec la simplicité charmante et la grossièreté affligeante qu'on lui connaît, la machine hollywoodienne écrase tout sur son passage. Toutes les femmes sont forcément et incroyablement sexy, tous les hommes sont des beaux gosses, et ponctuellement, les personnages satellites - Queen Latifah, George Lopez, Carter Jenkins - viennent nous rappeler que nous sommes bien dans le monde réel. Mais n'est-ce pas justement ce que l'on attend d'un film comme Valentine's Day ? Vendre l'idée d'un monde où tout va bien et où même les pires situations ne sont qu'une étape vers quelque chose de grandiose ? Armé d'un casting absolument terrifiant qui réunit les valeurs sûres - Julia Roberts, Jamie Foxx, Kathy Bates, Shirley MacLaine - et montantes - Anne Hathaway, Ashton Kutcher - mais aussi les bombes du moment - Jessica Biel et Alba, Jennifer Garner - et les stars à la mode - Bradley Cooper, Eric Dane, Patrick Dempsey, Taylor Lautner, Taylor Swift - le film ne laisse presque aucun autre choix que celui de succomber, les yeux grands ouverts, la bave aux lèvres presque, à un défilé de situations banales portées par des comédiens au fort capital sympathique. Chacun y trouvera son compte et aura quelque chose à se mettre sous la dent.
Mais même avec la meilleure volonté du monde, force est de constater que cette Saint Valentin a un arrière goût de réchauffé. Impossible de ne pas être gêné par un déballage de sentiments et de situations tellement attendues qu'elles en deviennent ridicules. Ce n'est pas tant la redondance des thématiques qui épuise - être trahi, être déçu, être seul, être différent - mais la manière dont les scénaristes s'évertuent à appuyer lourdement chaque scène par une musique insupportable et des dialogues appuyés. Les acteurs n'ayant déjà qu'une place très limitée pour exister - la faute à 2h de film qui s'évertue à caser un maximum d'éléments pour gagner un maximum de public - certains doivent en plus subir un manque cruel d'imagination - Patrick Dempsey en chirurgien amoureux de deux femmes, Queen Latifah en femme de caractère, Jamie Foxx en fan de sport. Heureusement pour les plus exigeants qui se sont laissés traîner de force, quelques idées plus drôles parsèment le film - Jessica Biel, Anna Hathaway, et quelques pistes discrètes.


Ceux qui liront cette critique ne cherchent pas une autre raison d'aller voir Valentine's Day que pour ce qu'il est, à savoir un produit de consommation à grande échelle
Ceux qui liront cette critique ne cherchent pas une autre raison d'aller voir Valentine's Day que pour ce qu'il est, à savoir un produit de consommation à grande échelle - Garry Marshall prépare d'ailleurs une suite autour d'un réveillon à New-York. Et c'est simplement comme cela qu'il doit être vu : une sucrerie innocente, indolore, incolore et oubliable, dont le seul but est d'amuser son spectateur, simplement et honnêtement, à la manière d'un Love Actually. Si le cinéma devait se résumer à cela, il en deviendrait immédiatement culte. Pour le coup, Valentine's Day se contentera d'offrir un petit moment agréable.
un film sucré à souhait comme je les aime mais impossible dy aller merci handilib

mardi 2 février 2010

envie de lecture

L'ATTRAPE-CŒURS, livre de Jerome David Salinger

L'Attrape-Cœurs, unique roman de l'écrivain américain Jerome David Salinger (né en 1919), est un livre maudit. Lorsqu'il parut en 1951, il fut banni des bibliothèques, exclu des programmes d'étude. On entendait ainsi museler la parole subversive de son héros, Holden Caulfield, cet adolescent en crise qui anticipe son éviction scolaire pour vagabonder en noctambule dans les beaux quartiers de New York.
Privé de lieu propre, Holden, qui a fugué du collège, erre pendant trois jours de chambre d'hôtel en boîte de jazz, de bar en hall de gare : « On m'a donné une chambre pourrie, avec comme vue par la fenêtre l'autre côté de l'hôtel. De la vue ou pas de vue, je m'en tamponnais. J'étais trop déprimé pour que ça me touche. Le groom qui m'a conduit à ma piaule était un très vieux type, dans les soixante-cinq piges. Je l'ai trouvé encore plus déprimant que la chambre pourrie. » Héritier du Werther de Goethe et d'Huckleberry Finn, le jeune héros de Mark Twain, Holden dénonce au passage le conformisme d'une société matérialiste qui affiche les marques de son progrès pour mieux cacher les symptômes de son angoisse. La  […]
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Autres références
« L'ATTRAPE-COEURS, Jerome David Salinger » est également traité dans :
SALINGER JEROME DAVID (1919- )
Auteur :  Jean-Paul ROSPARS
*Idole d'une génération de lecteurs américains, les adolescents de la classe moyenne dans les années 1950, J. D . Salinger représente à la fois un phénomène littéraire et socioculturel. En tête des personnages que son public a dotés d'une vie autonome, le héros de son roman L'Attrape-cœurs (The Catcher in the Rye, 1951),