L'artiste, âgé de 61 ans, a beaucoup bougé pour nourrir son album de sons reggae et soul. Il s'est arrêté dans la capitale libanaise qui donne le titre au disque mais aussi à Kingston en Jamaïque et à Memphis dans le Tennessee, où il a enregistré avec la collaboration de Willie Mitchell, producteur et arrangeur réputé.
La tête au Liban, un pied en Jamaïque et l’autre aux Etats-Unis, Bernard Lavilliers nous propose un nouveau carnet de voyage musical. Ce Samedi soir à Beyrouth a été construit sur une base reggae agrémentée d’influences soul, blues ou orientales. Un disque enregistré dans de mythiques studios de Kingston et de Memphis. Un album sombre et hypnotique marqué par l’ambiance si particulière de la capitale du pays du cèdre
. «Samedi soir à Beyrouth». Comme le vin, le baroudeur se bonifie avec le temps. Pendant près de quarante ans, l'artiste voyageur a posé ses valises dans ces pays qu'il aime, s'en est imprégné. Avec «Samedi soir à Beyrouth», l'éternel rebelle a réussi à marier avec brio le groove jamaïquain à la soul de Memphis. Il évoque toujours les causes premières - droits de l'homme, la guerre, droit au travail -, égratigne «ceux qui prennent et qui amassent, arrachent le temps avec leurs dents», dans «Killer». Coloré, chaloupé, vibrant et puissant, «Samedi soir à Beyrouth» est un excellent cru.
La tête au Liban, un pied en Jamaïque et l’autre aux Etats-Unis, Bernard Lavilliers nous propose un nouveau carnet de voyage musical. Ce Samedi soir à Beyrouth a été construit sur une base reggae agrémentée d’influences soul, blues ou orientales. Un disque enregistré dans de mythiques studios de Kingston et de Memphis. Un album sombre et hypnotique marqué par l’ambiance si particulière de la capitale du pays du cèdre
. «Samedi soir à Beyrouth». Comme le vin, le baroudeur se bonifie avec le temps. Pendant près de quarante ans, l'artiste voyageur a posé ses valises dans ces pays qu'il aime, s'en est imprégné. Avec «Samedi soir à Beyrouth», l'éternel rebelle a réussi à marier avec brio le groove jamaïquain à la soul de Memphis. Il évoque toujours les causes premières - droits de l'homme, la guerre, droit au travail -, égratigne «ceux qui prennent et qui amassent, arrachent le temps avec leurs dents», dans «Killer». Coloré, chaloupé, vibrant et puissant, «Samedi soir à Beyrouth» est un excellent cru.
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