mercredi 30 avril 2008

mon apart espisode I saison I

voilà les plans de mon appartement vide pour l'instant, j'ai eu les clefs mercredi
c'est parti pour des achats en tout genre,
-J'imaginais pas que c'était aussi cher d'aménager un appartement mais bon c'est génial quand même
- vivement que j'y sois

dimanche 27 avril 2008

penser que le meilleur reste avenir



Je ne sais plus quoi penser de quoi me diriez vous pas de lêtat du monde non



Quoi il aurait quoi . Mais bon je suis plus lombriliste en ce moment .




Bien que le monde ait des états d'âmes , du vagues à l'âme si pour une fois je ne me préoccupe pas de son sort il tournera plus rond ou moin pour autant .



c'est plutôt banal je dis , dire que je suis à un tournant de ma vie personnelle oui surement évidement.mais je pose toujours des questions pas sur mon avenir je sais où je vais



la seule question qui demeure c'est combien de temps encore ce temps restera de l'avenir.



L'avenir est bati d'instants de moments , de questions de décisions



de tours sur des terrasses avec des petits chapeaux bizzard thank mister goldman , allers retours , de chansons de livres des films à voir ou pas puisque " on va pas au cinéma pour le film , mais ceux qu'on y fera" copyrigth Berger . Il y a bien longtemps que je ne suis allée comme ça ................... pleins de vamos a la playa même en plein hiver n'en deplaise à aldbert .



Je retournerais sur cette plage en jullet plus logique me diriez vous mais elle me manque éperdument chaque instant , tout les instants . cette plage est le paradis oui j'y crois moi seule j'y irais la bas cet endroit est à moi pour toujours je crois.



j'y rais bien plus souvent je rêve de m'endormir sur cette plage à la lumière des étoiles , my réveiller ébloui par un grand soleil . j'adore cette plage toute douce, parfumé le jour où j' y ait échoué avec mon navire en perdition

j'ai compris que sur ce rivage je pouvais être apaiser par ses vagues douceurs .














lundi 21 avril 2008

rêve de voyage , voyage de rêve





Des fonds coralliens magnifiques, une eau turquoise à 30°C, du sable fin, des cocotiers... la Thaïlande, malgré la catastrophe qui l'a touchée le 26 décembre 2004, demeure un vrai coin de paradis.


Pour votre séjour, prévoyez large, au moins trois semaines, car le pays a bien d'autres ressources à vous offrir que ses plages : jungle luxuriante, réserves naturelles, temples bouddhistes, trekking autour de Chiang Mai, exploration gastronomique ou visite de l’hallucinante Bangkok.


le sud de la thailande


La Thaïlande semble avoir été tirée vers le sud par un géant. Autant la partie haute du pays est large, autant le sud est complètement étiré jusqu’à la frontière malaise.Ainsi, ce territoire est composé en majorité de plages des côtés est et ouest. La forêt tropicale a pratiquement totalement disparu. Mais on trouve malgré tout des espèces sauvages dans les collines verdoyantes.Le sud du pays attire surtout les visiteurs qui souhaitent se reposer dans un cadre magnifique. Les nombreuses plages de rêve qu’offre la région sont paradisiaques. Certaines ont même servi pour des tournages de film. Du côté Est, ne manquez pas de prendre le bateau pour rejoindre Ko Samui. Au programme : baignade dans une eau chaude, bronzage sous les cocotiers, et ambiance nocturne dans les nombreux bars. L’île fait partie du parc maritime d’Ang Thong, réputé également pour ses sites de plongée. Du côté ouest, sur la côte d’Andaman, faites un tour à Phuket-ville. Surnommée « la perle du Sud », elle a perdu du charme depuis une forte vague de modernisation pour accueillir les touristes mais sa visite vaut le détour. La région est assez pauvre en monuments mais vous pourrez tout de même en visiter quelques uns bien cachés dans les terres. Un peu plus au sud, dans la province de Krabi, vous pourrez pénétrer dans un temple troglodytique, Wat Tham Seua.
Des sites de plongée fantastiques vous attendent dans les parcs nationaux maritimes des îles Surin ou Similan. Vous pourrez escalader des falaises comme dans la baie d’Ao Phra Nang, randonner à dos d’éléphants, explorer des grottes sous-marines près des plages de Laem Sala, admirer la faune et la flore ou vous prélasser sous des cascades naturelles. Autant de curiosités naturelles qui laisseront des souvenirs impérissables.


source guide du routard

samedi 19 avril 2008

vagues à l'âme

les vagues

les vagues sont belles

elle dansent dans mistral

partentent et reviennent sans cesse

comme les états dâmes qui submergent

les vagues de l'âme sont parfois des larmes

parfois des questions souvent sans réponse

les vagues à l'âme s toujours nostalgiques

vendredi 18 avril 2008

poème de Aimé CESAIRE

PARTIR


Comme il y a des hommes-hyènes et des hommes-

panthéres, je serais un homme-juif

un homme- cafre

un homme hindou- de Calcutta

un homme de Harlem -qui- ne- vote- pas


l'homme - famine, l'homme -insulte, l'homme torture

on pouvait à n'importe quel moment le saisir le rouer

de coups, le tuer - parfaitement - le tuer- sans avoir de compte à rendre à personne sans avooir dexcuse à présenter à personne

un homme- juif

un homme -pogom

un chiot

un mendigot


mais est ce qu'on le remords , beau comme la face de stupeur d'une dame anglaise qui trouvrait

dans sa soupière un crâne de Hottentot


A CESAIRE CAHIER DU RETOUR AU PAYS NATAL 1


j'ai découvert ce texte, il y a longtemps l'année du bac pour être précise Césaire était au programe de lettre cette année là
Par sa puissance incantatoire et sa révolte lucide, le Cahier d'un retour au pays natal s'est imposé comme une œuvre majeure de la poésie francophone du XXe siècle. Étudiée dans les universités, elle est aussi entrée au programme des lycées. Jacques Martial a créé un spectacle autour d'extraits choisis du texte.

mardi 15 avril 2008

coup blues

l'attente:

je passe ma vie , à attendre quelqu'un quelquechose

une date surtout des dates

pourquoi le temps est -il si long quand on attent

pourquoi le temps est il si court quand on court

Je me suis toujours comme faisait la fille de la chanson de Jean jacque pour ne pas perdre patience

la mienne est à bout la je crois

Mais que faire quand celle là dépend institutions

rien à part attendre

Mais c'est pas dans caractère

voilà pourquoi cela me pose un probléme
mon avenir ne dépend pas moi mais diverse instences
voilà pourquoi j'ai l'impression dêtre une balle de ping pong

lundi 14 avril 2008

ELECTION EN ITALIE

Berlusconi risque une victoire à la Pyrrhus



Les opérations de vote ont repris ce matin à 7 heures en Italie pour les élections législatives qui décideront qui, du milliardaire Silvio Berlusconi ou de son adversaire de centre-gauche Walter Veltroni, gouvernera le pays. A la clôture provisoire des bureaux dimanche soir, la participation s'établissait à 62,5% en baisse de quatre points par rapport aux élections de 2006, selon les chiffres compilés par le ministère de l'Intérieur dans les 61.000 bureaux de vote la péninsule.



Les principaux leaders politiques ont voté dès dimanche, Walter Veltroni à Rome dont il a été le maire jusqu'il y a quelques semaines et Silvio Berlusconi dans son fief de Milan. Les premiers sondages sortie des urnes sont attendus dès la clôture du scrutin à 15 heures et les premières projections en sièges vers 19 heures. Les résultats officiels en revanche pourraient se faire attendre jusqu'à mardi, notamment si la lutte entre les deux principaux partis pour la majorité au Sénat s'avère aussi serrée que l'ont annoncé certains sondages.



Ceux-ci ont prédit le retour au pouvoir pour un troisième mandat de Silvio Berlusconi, à la tête du nouveau Parti du peuple de la liberté (PDL) qui regroupe ses alliés d'Alliance nationale (conservateur) et de la Ligue du nord (régionaliste et populiste). Mais une majorité dans le pays ne signifie pas nécessairement une majorité au Sénat en raison d'une loi électorale qui attribue la prime de majorité au parti vainqueur sur une base régionale.



Si les plus petits partis - Gauche arc en ciel (communistes et Verts), UDC (centre-droit chrétien), La Destra (extrême droite) - font un bon score dans certaines régions, ils risquent de priver de prime le PDL de Berlusconi ou le nouveau Parti démocrate (PD) de Veltroni. L'Italie se retrouverait alors dans une situation semblable à celle de 2006 lorsque Romano Prodi avait gagné de justesse mais que son gouvernement avait finalement chuté 20 mois plus tard, faute d'une majorité suffisante au Sénat.

ANALYSE :

La baisse notable de la participation, qui a été dimanche de 62,5%, soit une diminution de quatre points par rapport aux législatives de 2006, fait la Une de la presse. "Un signe du nouveau climat, la politique perd des points", écrit le Corriere della Sera, plus gros tirage de la presse. "Une grande partie de ceux qui se sont déclarés indécis jusqu'au dernier moment, aurait fini par déserter les urnes. Le manque d'intérêt pour la politique serait plus important. Les premiers éléments semblent confirmer cette hypothèse", souligne Renato Mannheimer, le spécialiste des sondages du quotidien. En plus des législatives, les Italiens vont aussi voter dans plusieurs villes pour des municipales, notamment à Rome, et pour des régionales, comme en Sicile. Les premiers sondages sortie des urnes sont attendus dès 13H00 GMT et les premières projections en sièges vers 17H00 GMT.
l'alliance de droite de Silvio Berlusconi serait la grande gagnante des élections législatives italiennes, selon les premières projections des instituts de sondages, publiées lundi 14 avril. Le Peuple de la liberté (PDL) remporterait une confortable majorité à la Chambre des députés et surtout au Sénat, où l'issue est cependant toujours incertaine en raison de la complexité des lois électorales italiennes. Les premières projections en sièges sont attendues en fin d'après-midi mais les résultats officiels pourraient n'être rendus publics que mardi.
L'institut Piepoli donne notamment M. Berlusconi gagnant avec 43,7 % des voix, contre 39,1 % au Parti démocrate (PD) de Walter Veltroni au Sénat, confirmant les sondages "sortie des urnes" de ce même institut qui accordaient un avantage au chef de file de la droite italienne. Une projection Ipsos donne une avance encore plus importante à Silvio Berlusconi, avec 47,2% contre 38,1% pour le camp rival. Ces deux instituts se basent sur le dépouillement de plus de 30 % de l'échantillon des bulletins de vote choisis comme référence. LA MAJORITÉ AU SÉNAT
A la Chambre des députés, la coalition de M. Berlusconi, formée avec la Ligue du Nord et un mouvement autonomiste sicilien, devancerait également le PD, avec 42 % des voix contre 40 %, selon des sondages "sortie des urnes" pour les chaînes SKY et RAI. Le reste des voix est réparti entre d'autres formations comme la Gauche arc-en-ciel, réunissant communistes et verts, les chrétiens démocrates centristes de l'UDC et l'extrême droite de La Destra. Le taux de participation pour les deux jours de scrutin, s'élèverait quant à lui à 82,4 %, selon une projection de SKY

si c'est confirmé c'est une catastophe pour l'europe, Sarkosy Berluconi le cauchemard

listephile


Je suis atteinte par un virus ... je me doutais dès les premiers symptômes que je couvrais cette maladie ... je suis listephile ...et ça empire, il y longtemps que je ne me limite plus a lister mes courses comme la moitié de la gente féminine, NON je liste bcp de choses, je croyais lister trop avant de tomber sur l'article de Cosmo /*/page 135/*/ ( et oui ce fameux magasine qui passe entre toute les mains des copines...) je sais maintenant que certes il n'y a pas de traitement mais qu'on peut vivre avec... et ça, c'est rassurant.Jusque maintenant je me contrôlais pour ne pas passer pour folle au risque de finir enfermer dans un asile parce que j'aurais listé, quel couleur de chemise/T shirt il n'a pas, les repas qu'on fait, de quelle couleur était la housse de couette qu'on a mis en dernier pour varier les couleurs ...Bref malgré les apparences je ne suis pas folle, (ou pas tout à fait pour être exacte... )Je peux donc me remettre à faire des listes, sur les livres et films qui me remontent le moral, les sorties que je dois faire, les divers projet que j'ai en tête, des bouquins encore à lire les choses à classer, les produits tops, les marques a eviter, les ''recettes de grand mère", les choses a acheter dans un futur proche... ou pas... listes des choses à faire avant déménager liste de date possible pour se revoir, liste des achats divers et varier pour l'appart, listes des thématiques de l'oral de capes de doc , liste des lettres de motivation à envoyer au cas où ............
voilà et j'en passe es typiquement féminin ou atypiquement moi je n'en sais rien
source un autre blog :http://bussy.skyrock.com/ merci

samedi 12 avril 2008

FREE TIBET



"Quelle que soit la raison, la violence n'est pas compatible avec les valeurs de la flamme olympique ou des Jeux olympiques", a affirmé M. Rogg, le président du Comité international olympique (CIO).Pourquoi avoir choisi la Chine pour representer cette flamme alors ? N'est-ce pas la representation de l'union entre les pays ? Les valeurs olympiques, c'est le respect des hommes, de l'humanité, de la parole.

On est face à un génocide, qui dure depuis bientôt 50 ans...Il a fallu les jeux Olympiques pour reveiller les pays occidentaux et maintenant il faut bouger, nous citoyens !!!
Si les gouvernements occidentaux condamnent verbalement la politique chinoise au Tibet, leurs actions se limitent essentiellement à mettre au point et à signer un certain nombre d'accords économiques avec ce partenaire peu recommandable. L'argent autorise le génocide ! Le rapport annuel sur les violations des droits de l'homme au Tibet, produit par le Centre Tibétain pour les Droits de l'Homme et la Démocratie :


1. Le droit à la liberté de religionPanchen Lama : position chinoise. Campagne "Frapper fort" en Chine. "La dernière bataille".


2. Droit de liberté d'expression et d'opinionCas de violations de la liberté d'expression et d'opinion


3. Prisonniers politiquesCas de prisonniers politiques en longue détention toujours détenus. Moines de Serwa au Camp de travail de Powo Tramo. Prisonniers politiques tibétains connus condamnés à plus de 10 ans.


4. Arrestations et détentions arbitrairesArrêtés dans l'exercice de leurs droits. Détentions arbitraires. Non-observance du droit à un jugement équitable.


5. Droit à ne pas être torturéTortures ayant entraîné la mort. Tortures et mauvais traitements. Cas de Jampel Tséring.


6. DisparitionsCas connus de disparitions


7. Droit à la non-discrimination racialeDans les représentations publiques, l'éducation, la langue, le droit à la pro-création, l'emploi, le logement.


8. Droits des FemmesArrestations. Tortures et mauvais traitements. Abus sexuels. Contrôle des naissances.


9. Droits de l'enfancePrisonniers de conscience mineurs. Détentions sans jugements. Fermeture d'écoles et expulsion d'écoliers et d'étudiants.


10. Transfert de populationUne politique délibérée de l'Etat. Croissance du taux de transfert de population chinoise au Tibet.


11. Liste des prisonniers politiques tibétains connus (582 cas recensés fin 1996, qui sait combien ils sont aujourd'hui !).Fin 1996...En 2008 rien n'a changé et tout le monde le sait.



Cet article a èté long écrire j'éspére qu'il est bien documenter sujet délicat que je ne savait pas comment aborder
dites moi vos avis c'est pertinent ou pas

ELECTION EN ITALIE

Des élections générales anticipées auront lieu en Italie les 13 et 14 avril 2008[1] après que le président Giorgio Napolitano a dissous le Parlement italien, le 6 février 2008, suite au renversement du second gouvernement de Romano Prodi, lors d'un vote de confiance au Sénat où la majorité ne tenait qu'à un fil[2]. Cette décision d'aller aux urnes a été prise suite à l'échec de l'initiative présidentielle visant à nommer à la présidence du conseil une personnalité neutre, capable de former un gouvernement de transition en vue de réformer la loi électorale, jugée trop propice à l'émiettement politique. En vertu de la loi italienne, les élections doivent avoir lieu dans les 70 jours qui suivent la dissolution.




le mode de scrutin :


Les 630 députés (de la Chambre basse) sont élus via un système mixte, sur une base proportionnelle avec prime majoritaire. Concernant les coalitions, la loi électorale prévoit que seules celles obtenant au moins 10 % des suffrages exprimés au niveau national puissent accéder à la répartition des sièges, à la représentation proportionnelle, dans le cadre de 26 circonscriptions législatives. Au sein de ces coalitions, les sièges sont distribués entre les listes ayant obtenu au moins 2 %, ainsi que parmi celles ayant obtenu le plus de voix juste en dessous de ce seuil. Concernant les partis se présentant seuls, ils doivent obtenir au moins 4 % des suffrages exprimés, également au niveau national, pour se voir attribuer des sièges. En outre, la loi permet à la coalition (ou au parti) ayant obtenu le plus de voix de recevoir au moins 55 % des sièges de la chambre des députés (soit 340 sièges), les sièges restants étants répartis entre toutes les listes à la représentation proportionnelle.


Les 315 sénateurs (de la Chambre haute) sont élus dans le cadre des vingt circonscriptions régionales. Dans chaque région, la liste arrivée en tête reçoit directement 55 % des sièges à pourvoir, les sièges restants étant répartis à la proportionnelle entre toutes les listes qui ont dépassé 8 % des voix.


Le contexte

Le 16 janvier 2008, le ministre de la Justice, Clemente Mastella (Union des démocrates pour l'Europe, Udeur), a présenté sa démission du gouvernement de Romano Prodi, invoquant la campagne d'accusation dont il faisait l'objet et le manque de solidarité gouvernementale pour justifier sa décision[3]. Soupçonné d'avoir fait pression sur le gouverneur de la région de Campanie pour obtenir la nomination d'un de ses proches à un poste de responsabilité, M. Mastella a découvert peu avant sa démission que lui et toute sa famille avaient été placés sur écoute. En conséquence, l'Udeur décidait de se retirer de L'Union, la coalition de centre-gauche soutenant Romano Prodi. Celui-ci devait alors faire face à sa mise en minorité au Sénat et réclamer la confiance du Parlement.
Le régime parlementaire italien est caractérisé par un bicaméralisme égalitaire, ce qui veut dire que les deux chambres du Parlement ont exactement les mêmes pouvoirs. Si l'Union se trouvait être largement majoritaire à la Chambre des députés lors du vote de confiance, il en allait tout autrement au Sénat, où elle perdait, avec le départ des sénateurs de l'Udeur, sa fragile majorité absolue. Ainsi, alors que la Chambre des députés lui accorde sa confiance le 24 janvier, par 326 voix pour et 275 voix contre, le Président du Conseil perd la confiance du Sénat par 156 voix pour et 161 voix contre, et se retrouve de facto contraint à la démission. Peu après l'avoir fait, Romano Prodi a déclaré vouloir se retirer de la vie politique[4].


Le gouvernement Prodi aura duré au total 650 jours, devenant le deuxième plus court de l'histoire de la République italienne. Il s'agit en outre de la huitième législature qui ne va pas jusqu'à son terme. Ce gouvernement comptait 102 membres issus de 10 partis politiques différents, allant des communistes (dont le parti d'extrême gauche Refondation communiste) au centre-droit démocrate chrétien. Sujet à de multiples mouvements de balancier entre son aile gauche et son aile droite, il a souvent dû faire face à de graves dissensions et M. Prodi a souvent dû s'appuyer sur le soutien des sénateurs à vie, l'Union ne disposant que d'une avance de 2 sièges sur l'opposition au Sénat. Ces conflits au sein de sa majorité l'ont contraint à abandonner certaines de ses promesses électorales, comme l'instauration d'une union civile pour les couples homosexuels[5].

Les enquêtes d'opinion révèlent que deux italiens sur trois étaient favorables à l'organisation d'élections anticipées après la chute du gouvernement. Bien que le patronat[7], la conférence épiscopale et de nombreux représentants de la société civile y étaient opposés, le chef de la droite italienne, Silvio Berlusconi, a plaidé pour l'organisation immédiates d'élections générales anticipées[8]. A contrario, le chef du Parti démocrate (PD), Walter Veltroni, s'était dit favorable à une modification préalable de la loi électorale, invoquant les très fortes dissenssions au sein de la majorité sortante et leur influence néfaste sur la stabilité gouvernementale et la cohérence
Politique[9].




les candidats

Les principaux concurrents au poste de Président du conseil sont Silvio Berlusconi, en tant que leader de l'opposition de droite, et Walter Veltroni, le chef du Parti démocrate (centre-gauche).

L'ancien Président du Conseil, Silvio Berlusconi, est candidat pour la cinquième fois. En 1994, il avait révolutionné la communication et la vie politique italienne. En 2001, il devenait le premier Président du Conseil à avoir terminé son mandat de 5 ans.
Le 12 décembre 2007, date anniversaire d'une grande mobilisation des forces de l'opposition contre le gouvernement de Romano Prodi, M. Berlusconi fonde le parti du Peuple de la liberté (PDL) coalition de droite comprenant son parti, Forza Italia, les nationalistes de l'Alliance nationale (AN doit se dissoudre totalement dans le PDL d'ici son prochain congrès) et différentes petites formations politiques d'horizons divers[10]. Elle est alliée à la Ligue du Nord, parti fédéraliste et populiste situé très à droite sur l'échiquier politique[11] qui se présentera encore seule dans le nord de l'Italie tandis que dans le Mezzogiorno, le Mouvement pour l'autonomie, bien implanté en Sicile fait de même. Le Peuple de la liberté est donné favori, en début de campagne, par diverses enquêtes d'opinion[12], mais cette avance semble fondre courant février et mars.


Silvio Berlusconi, surnommé Il Cavaliere (chevalier), s'inscrit ainsi dans la lignée de Walter Veltroni, contribuant à bouleverser le paysage politique italien, jusque là dominé par un très fort émiettement politique et la formation de vaste coalitions. Le PDL, se voulant un grand parti fédérant les forces politiques ne se reconnaissant pas dans la gauche, a jusqu'à maintenant surtout capté des partisans du côté de la droite dure. À titre d'exemple, Alternative sociale, le parti d'Alessandra Mussolini, petite-fille de Benito Mussolini, doit à terme rejoindre le PDL, tandis que l'UDC (Union du centre) a rompu avec la droite italienne après 14 ans d'alliance[13]. Silvio Berlusconi en appelle malgré tout à la modération, se disant même favorable à la formation d'une grande coalition avec le Parti démocrate[14].


Le 9 février 2008, le chef de l'opposition a en outre fait part de ses ambitions de contribuer à faire de la République italienne un système politique bipartisan, affirmant qu'il souhaiterait voir s'établir en Italie une "République fondée sur deux piliers qui cultivent de grands projets" tout en précisant qu'il ne considère pas le Parti démocrate comme un ennemi. Cette volonté d'ouvrir le dialogue avec la gauche pousse des analystes politiques à prêter à Silvio Berlusconi l'ambition de devenir Président de la République[15]. Devenu figure historique de la vie politique italienne, M. Berlusconi aura survécu à son vieil ennemi, Romano Prodi, qui a finalement abandonné sa carrière politique.
Allié au petit parti de l'Italie des valeurs et aux Radicaux italiens, le PD englobe la majeure partie du centre-gauche de gouvernement italien depuis sa fondation, quelques mois avant les élections, sur la base d'une fusion entre les Démocrates de gauche (sociaux-démocrates) et La Margherita (centre-gauche démocrate-chrétien). Suite à l'annonce de l'organisation d'élections anticipées, M. Veltroni a déclaré que son parti ne passerait aucune alliance avec d'autres partis, choisissant plutôt de concourir seul avec sa propre plate-forme, optant ainsi pour une stratégie différente de celle utilisée par Romano Prodi depuis des années (coalitions dite de L'Union et de L'Olivier). Les deux seules exceptions à ce cavalier seul sont donc l'alliance avec l'Italie des Valeurs, chacun présentant sa propre liste, et l'alliance plus étroite avec les Radicaux, ces derniers ayant neuf parlementaires réservés sur les listes du PD.


Se voulant incarner une rupture définitive avec l'expérience de 1921 à Livourne, théâtre de la scission de l'ancien Parti socialiste italien (PSI) et de la fondation du défunt Parti communiste italien (PCI), le PD serait aussi, selon ses fondateurs, un moyen d'empêcher la formation d'une force autonome située au centre de l'échiquier politique[16]. Aux primaires d'octobre 2007, Walter Veltroni, qui a recueilli près de 3 millions de voix sur son nom, a été élu Premier secrétaire du parti.


En choisissant de faire concourir seul son parti, M. Veltroni veut contribuer à rendre le centre-gauche plus visible et plus organisé, souhaitant à terme en finir avec la tradition italienne des grandes coalitions hétéroclites[17]. Voulant à la fois rompre avec la gauche radicale et les petits partis centristes, comme l'UDEUR, qui a provoqué la chute du gouvernement Prodi, M. Veltroni veut se doter d'un programme clair et s'affranchir des tactiques de médiation et de la logique du compromis ayant animé jusqu'à maintenant la gauche italienne[18].
Ouvert à des alliances basées sur une adhésion à son programme, le PD a déjà obtenu le soutien des Radicaux italiens de Marco Pannella et d'Emma Bonino, cette dernière pouvant en outre espérer obtenir un poste ministériel en cas de victoire[19]. L'annonce de cette alliance créa immédiatement des conflits avec la tendance catholique du PD sur les question de société, mais ce clivage idéologique a été balayé d'un revers de la main par Walter Veltroni, qui lui trouve un côté archaïque[20].
Évitant de prononcer le nom de son adversaire, Silvio Berlusconi, dans un souci d'écarter toute éventualité de diabolisation de ce dernier de sa part, M. Veltroni souhaite mettre fin à "une ère de querelles et de haines". Fin 2007, il a ainsi cherché à dialoguer avec le leader de l'opposition sur la modification de la loi électorale, recevant l'hostilité d'une partie de la gauche italienne, l'accusant de vouloir redonner à M. Berlusconi une légitimité alors même que le centre-droit le quitte, ou même de chercher à contribuer à la chute du gouvernement Prodi pour satisfaire à ses ambitions personnelles[21].

Malgré les risques que font peser la loi électorale sur une stratégie solitaire, cette initiative a été saluée par bon nombre d'observateurs politiques, qui y voient un moyen de clarifier et de renouveler le paysage politique italien[22]. Affichant sa différence avec Romano Prodi et se voulant un homme neuf en comparaison de l'ancienneté de Silvio Berlusconi sur la scène politique, Walter Veltroni incarne un leader politique jeune et audacieux[23].




Autres forces en présence:

La Gauche - l'Arc en ciel, menée par Fausto Bertinotti, englobe les principaux partis de la gauche parlementaire, en dehors du PD, à savoir Refondation communiste, le Parti des communistes italiens, les Verts et Gauche démocrate, nouveau parti rassemblant d'ex-membres des Démocrates de gauche défavorables à la création du PD. Les résultats cumulés obtenus par les trois premiers en 2006 atteignent 10,2 % des suffrages exprimés, cette coalition a donc une chance de franchir le seuil des 10 % des suffrages exprimés pour accéder à la répartition des sièges au sein de la Chambre des députés. La bonne implantation de Refondation communiste dans certaines régions peut également lui assurer quelques sièges au Sénat.

L’Union du Centre, constituée surtout par l’Union des démocrates chrétiens et du centre (UDC), parti de centre-droit conduit par Pier Ferdinando Casini, qui a, pour la première fois depuis quatorze ans, refusé de s'allier à Silvio Berlusconi, préférant se présenter seul aux électeurs (voir détails ci dessous). En 2006, l'UDC a rassemblé 6,8 % des voix dans les deux chambres, et a donc de bonnes chances d'être représentée à la Chambre des députés. Elle se présente avec le symbole Union du Centre (et non UDC), pour tenir compte de son alliance avec la Rose blanche, scission de l'UDC menée par Bruno Tabacci, s'inscrit dans une ligne de rejet en bloc du système institutionnel en place et prône l'avènement d'un système similaire à celui de l'Allemagne. Elle s'allie in fine à l'UDC de Casini sous le nom d’Union de Centre).

D'autres petits partis ont présenté d'autres candidats au poste de Premier, parmi ceux-ci, il faut retenir ceux qui obtiennent aux alentours de 1 % (±) lors des différents sondages, score qui ne devrait normalement pas leur permettre d'être représentés à la Chambre des députés :


-Le nouvellement recréé (2007), Parti socialiste devrait se présenter seul avec Enrico Boselli comme candidat Premier ministre ;

- La Droite, menée par Daniela Santanchè ;


-Le Parti communiste des travailleurs de Marco Ferrando incarnera l'extrême gauche.


Les autres partis capables d'être présents dans toutes les circonscriptions (chambre et sénat) sont :

-Flavia D’Angeli, soutenue par la Sinistra Critica ;


- Stefano de Luca, soutenu par le Parti libéral italien ;


-Bruno De Vita, soutenu par l'Unione Democratica per i Consumatori ;


-Clemente Mastella, soutenu par l'UDEUR mais qui renonce le 6 mars 2008 se présenter.


si je devais voter je voterais pour le parti démocrate pourquoi d'abord parce que je suis de gauche et puis parce que ce parti a ligne politique et un projet resolument moderne
Certes, cette opération politique originale est fille de particularités nationales qu'on ne saurait pas transposer automatiquement en France. Qui plus est, elle n'en est qu'à ses balbutiements, et des premières fissures apparaissent déjà dans l'édifice commun. D'abord, elle ne fait pas l'unanimité chez les anciens communistes, et l'un de leurs piliers historiques, Fabio Mussi, a d'ailleurs annoncé qu'il ne suivra pas. Ensuite, les deux mouvements fondateurs ne s'accordent pas sur le positionnement européen du futur «Parti démocrate». Les uns, avec la Margherita ont soutenu François Bayrou pendant la campagne du premier tour en France. Les autres, chez les DS, ont soutenu sans hésitations la socialiste Ségolène Royal. Ce décalage est ensuite très marqué pour ce qui est de la future adhésion du «Parti démocrate» à l'un des groupes existants au Parlement européen : Rutelli & Co, qui actuellement siègent avec l'UDF dans l'Alliance des libéraux démocrates, refusent catégoriquement de se rallier au Parti socialiste européen.
Mais au-delà de ces différences, le souci d'unité du centre-gauche italien peut être un exemple pour la France. A un moment où Ségolène Royal a besoin des voix de François Bayrou pour s'imposer dans le duel qui l'opposera à Nicolas Sarkozy le 6 mai prochain, une alliance avec le leader centriste pourrait lui être fort utile. Et non seulement sur le plan tactique. Si elle veut véritablement «réformer la France», elle ne pourra pas s'appuyer sur des micro-partis paléo-communistes tels que l'incroyable Ligue communiste révolutionnaire (sic) d'Olivier Besancenot. Qui plus est, le PS est un mammouth irréformable et d'ailleurs le choix de miser sur «Desirs d'avenir» démontre que la candidate le sait. Si son modèle c'est la social-démocratie scandinave, elle aura besoin de refonder, avec l'UDF et avec des personnalités populaires telles qu'un Kouchner ou un DSK, un nouveau pacte présidentiel qui fasse enfin le choix d'un capitalisme au visage humain. Et non pas de l'anti-libéralisme, souvent obtus, qui flirte avec l'extrême gauche anti-européenne.

EECTION ITALIENNE LES ENJEUX

Elections législatives en ItalieDuel sur fond de difficultés économiques Quelque 50 millions d’électeurs italiens se rendent aux urnes les 13 et 14 avril pour le scrutin législatif. Une élection avec un mode de scrutin compliqué, accusé de tous les maux, et deux chefs de file : Silvio Berlusconi pour le Peuple de la Liberté (PDL) et Walter Veltroni pour le Parti démocrate (PD).

L’Italie est rendue ingouvernable à cause d’un mode de scrutin difficile issu de la loi électorale adoptée en décembre 2005. Une majorité de 340 sièges sur 630 à la Chambre des Députés est automatiquement assignée au parti ou à la coalition qui obtient ne serait-ce qu’une voix de plus que son adversaire. C’est ainsi que la coalition de centre-gauche conduite par Romano Prodi avait obtenu cette majorité non-négligeable lors des législatives d’avril 2006, ne disposant que de 25.000 voix d’avance.En revanche, au Sénat, avec 315 sièges, la situation est autre : la prime au vainqueur est assignée sur une base régionale, l’Italie comptant au total 20 régions ; plus la région est peuplée, plus la prime est importante. Cette particularité-ci a permis à la coalition de Romano Prodi d’obtenir en 2006 la victoire finale au Sénat en nombre de sièges, deux de plus, en dépit d’un nombre moindre de suffrages populaires au niveau national. Le Sénat ayant exactement le même poids politique que la Chambre des Députés, l’obtention d’une large majorité au Sénat est donc rendue très incertaine même en cas de victoire populaire.Une économie atonePrincipal sujet de la campagne électorale : l’économie. Ralentissement de la croissance (1,5 % en 2007 contre 1,8% en 2006 et des prévisions à seulement 0,6% pour 2008), compétitivité mal en point, perte de confiance dans les institutions, c’est donc une Italie en proie à un profond malaise qui ira voter les 13 et 14 avril. Quelles en sont les raisons ? Une carence d’infrastructures, une dépendance énergétique abyssale, une fiscalité inadaptée et des dépenses publiques élevées et peu efficaces. La conjoncture est donc très morose en Italie et pour relancer la croissance, d’après l’éditorialiste d’Il Sole 24 Ore Alberto Quadrio Curzio, « un accord bipartisan sera nécessaire après les élections sur ces points essentiels ». Autre chantier à mettre en œuvre : combler le fossé qui sépare le nord du sud du pays, sur l’industrie de certains secteurs des services, d’autant plus que les départs des travailleurs qualifiés du sud vers le nord ont repris, accentuant ce fossé.S’ajoute à cela une situation difficile pour les ménages qui affichent un moral en berne, leur indice de confiance ayant touché son niveau le plus bas depuis quatre ans en mars. Le chômage, toutefois, est pourtant au plus bas (6,6% au dernier trimestre 2007) mais sa baisse s’est ralentie en fin d’année. Enfin, d’après un sondage publié fin mars dans le quotidien La Repubblica, un peu plus de la moitié des Italiens, 51,4%, estiment que leur situation économique personnelle s’est aggravée contre 36,1% en mars 2006.Un cas particulier dans l’économie italienne : Alitalia. La compagnie aérienne italienne est au bord de la faillite. Le 3 avril, le conseil d’administration d’Alitalia avait estimé que le rachat de la compagnie par Air France – KLM restait « adéquat pour assurer le retour à une croissance profitable ». Quant au conseil d’administration d’Air France – KLM, il a considéré que son projet était « le seul de nature à permettre le retour d’Alitalia à la croissance rentable dans des délais rapides ». Le plan de rachat par la compagnie franco-néerlandaise prévoit notamment 2.100 suppressions d’emplois, ce à quoi s’opposent la majorité des syndicats d’Alitalia.Les propositions économiques de la droite et du centre-gaucheLe Parti démocrate (PD) de Walter Veltroni prévoit de réduire l’impôt sur le revenu des salariés de trois points en trois ans à partir de 2009, d’instaurer un crédit d’impôts de 2.500 euros par enfant et des déductions d’impôts aux femmes salariées, en particulier dans le sud de l’Italie. A propos des retraites, le PD veut étudier un mécanisme permettant d’augmenter les pensions selon le coût de la vie, avec un bonus pour ces retraites dès le mois de juillet. Enfin, dernier grand chantier du PD, ramener la dette publique rapidement sous les 90% du PIB (104% actuellement) grâce à la vente d’actifs immobiliers.Le Parti de la Liberté (PDL) de Silvio Berlusconi, de son côté, entend défiscaliser les heures supplémentaires, les primes liées à la productivité ainsi que le treizième mois ; autre objectif, la suppression de la taxe foncière sur la résidence principale et l’introduction progressive d’un mécanisme de quotient familial. Pour les retraites de moins de 1.000 euros par mois, Silvio Berlusconi promet une indexation sur le coût de la vie et tout comme Walter Veltroni, il est favorable au cumul des salaires et des retraites. Dernier point du programme du PDL : la lutte contre la fraude fiscale, la diminution des dépenses publiques d’un point de PIB et la fin du recours aux amnisties fiscales.Enfin, sur la thématique des infrastructures en Italie, les deux camps se rejoignent sensiblement : moderniser le sud de la péninsule, renforcer les ports et accélérer le développement du réseau ferré à grande vitesse, notamment la ligne Lyon-Turin-Trieste.Les autres grands thèmes de campagneOutre l’économie, point central de la campagne législative, la question de la Sicile, et de la mafia en particulier, a bien occupé les débats. Thème majeur : l’impôt mafieux que la nouvelle génération de patrons et d’entrepreneurs refuse de plus en plus de payer. L’Etat est aujourd’hui plus fort contre la mafia, et les patrons n’hésitent désormais plus à porter plainte contre les mafiosi.En septembre 2007 par exemple, la Cofindustria, l’organisation des patrons en Italie, a franchi un pas décisif en annonçant l’exclusion de ses membres siciliens qui accepteraient de payer le pizzo, l’impôt mafieux, considéré par eux comme un « acte dommageable à la société et à l’économie ». Une quarantaine de patrons ont déjà été exclus de la Cofindustria. Le pizzo est aujourd’hui évalué à un milliard d’euros, environ 1,3% du PIB régional.Autre thème majeur, le Pacs italien, naufrage de l’ère Prodi, malgré une loi du 8 février 2007 reconnaissant des droits aux personnes vivant en couple, hétérosexuelles ou homosexuelles. Mais le débat déchire immédiatement le pays, notamment par le truchement du lobbying intense du Vatican et de l’Eglise. L’Italie est donc aujourd’hui l’un des rares pays européens à ignorer les droits des couples, qu’ils soient hétérosexuels ou homosexuels.Parallèlement, l’Eglise italienne affiche sa neutralité mais laisse transparaître très clairement les valeurs pour lesquelles elle se bat : le mariage, l’opposition à l’avortement, le refus de l’euthanasie, des valeurs éthiques desquelles Silvio Berlusconi et Pier Fernando Casini, ancien du PDL et désormais chef de file du petit parti centriste UDC, sont proches. Plus en tout cas que Walter Veltroni.Qui sont les deux principaux candidats ?Silvio Berlusconi, 71 ans, dirige fermement la droite depuis son entrée fracassante en politique en 1993. Ses déclarations à l’emporte-pièce et son ton très populaire ont fait sa réputation. Il a été à la tête de deux gouvernements depuis 1994. En avril 2006, il a été battu d’extrême justesse par la coalition de Romano Prodi et il n’a jamais digéré cette défaite. Egalement magnat des médias et argentier du football, Berlusconi veut prendre sa revanche, en axant notamment sa campagne sur les faiblesses de ses adversaires de gauche, dénonçant leurs divisions et leurs promesses non-tenues de relance de l’économie. Berlusconi est toutefois apparu plus modéré au cours de cette campagne, reconnaissant même qu’il serait peut-être trop vieux pour gouverner et que les miracles n’existent pas.En face, Walter Veltroni, 52 ans, nouveau leader du centre-gauche, ancien maire de Rome, élu en 2001, réélu en 2006 et porté en octobre dernier à la tête du PD. Il se veut l’incarnation de la conversion au pragmatisme de la gauche italienne face à une droite fantasque incarnée par Berlusconi. Il est passé dans les années 90 du communisme au réformisme. Il a refusé toute alliance avec l’extrême-gauche et le centre, échaudé par l’expérience Prodi.Dans le jeu des alliances, à droite, les votes iront au PDL et à la Ligue du Nord, puissant allié régionaliste du nord de l’Italie. A gauche, les électeurs ont le choix entre le PD et la gauche « arc-en-ciel » qui regroupe communistes et Verts. Enfin, au centre, le petit parti catholique de l’UDC, mené par un ancien allié de Berlusconi, peut espérer jouer un rôle d’arbitre si aucune majorité ne se détache au Sénat. source arte

vendredi 11 avril 2008

l'avis d'un ami que je partage

INTEGRATION ET HANDICAP
Aujourd'hui, notre société a du mal à mettre en parallèle ces deux mots. Sommes-nous si différents des personnes valides ? Je ne le crois pas, et pourtant, nous sommes, quoi que l'on en dise stigmatisés. Le sociologue Américain Erving Goffman définit les stimate ainsi :"Un individu est dit stigmatisé lorsqu'il présente un attribut qui le disqualifie lors de ses interactions avec autrui. Cet attribut constitue un écart par rapport aux attentes normatives des autres à propos de son identité. Chaque individu est plus ou moins stigmatisé en fonction des circonstances, mais certains le sont plus que d'autres : tous peuvent être placés sur un continuum. Les stigmates sont nombreux et variés : parmi eux, le passé des individus, les handicaps, les tares de caractère, l'homosexualité, l'appartenance à un groupe donné, etc." Si, comme comme le dit Goffman, un attribut spécifique, ici le handicap d'un individu, empêche ce dernier d'aller vers les autres, d'intéragir avec autrui, alors légitimement, on peut se demander si l'intégration de cet individu est possible car, effectivement il ne correspond pas aux normes imposées dans notre société. Pardonnez moi, si je suis un peu provocateur ici mais il est vrai qu'être, handicapé physique, mental, sensoriel, ou bien être de couleur, malade ou porteur de toute autre différence enferme toutes ces porsonnes dans une sorte de ghetto.Pour les responsables politiques et institutionnels, malgré les discours de bonnes intentions, il est plus facile et plus confortable de ne rien faire.C'est pour cela que je pense que les problèmes liés à l'intégration des personnes en situation de handicap physiique, mental, sensoriel ou social ne peuvent être, en aucun cas, réglées par les grandes institutions, se posant de façon quasi totalitaire comme étant les sueles capables de trouver des solutions pour ces personnes. De mon point de vue, il faut que TOUTES les personnes en situations de handicap s'élèvent contre ces dérives qui peuvent, à long terme, s'avérer dangeureuses et se rassemblent pour trouver leurs solutions avec l'aide, bien sûr, de ceux et celles partageant ces valeurs "anti ghetto". En d'autres termes il faut "collectiviser" les différents problèmes pour mieux les régler.C'est, à mon sens, la seule façon d'intéragir, selon le terme de Goffman, donc d'aller vers une intégration quasi totale dans une société qui, il est vrai, n'apporte pas normément d'aide aux individus ne correspondant pas aux normes.Olivier

mardi 8 avril 2008

humeur nostalgique

je suis nostalgique d'un coucher soleil au bord de la mer parce que j'aime la mer les couchers de soleil vous me diriez c'est banalement romantique mais le romantisme est il banal de nos jours peut être.
mais personnellement je crois plutôt qu'il se perd cette reflexion m'est venu tout à l'heure en baladant j'ai vu un homme sortir avec un bouquet de roses cinquantes pour être précise , aulieu de penser wouah elle de la chance . j'ai pensé il doit avoir quelque choses à se faire pardonner
pourquoi peut être parce que je pense que romatisme est perdu aujourd'hui nous faison plus les choses spontanéments mais par calcul .
Mais quoi je pense ça alors je suis heureuse même trés heureuse si il n' y avait pas ces satané 800 Bornes à la noix
je dois dire aujourd'hui elles me pésent encore plus il y a des jours comme ça où être un couple à distance est encore plus difficile

dimanche 6 avril 2008

humeur manque de..............


Un bisou tout doux sur la joue

un bisou voyou dans le cou

un bisou dans un igloo

Un bisou coquin dans les mains

Un bisou dans un train

Un bisou au téléphone quand il sonne

Un bisou en texto le matin trés tôt

Un bisou par mail pour te dire je t'aime

Un bisou merveilleux pour te dire je te veux

Un bisou au chocolat pour te dire tu es à moi

Un bisou esquimau pour avoir plus chaud

un bisou chamallow pour te dire tu es beau

Un bisou à la fraise c'est balzé

Un bisou à la vanille c'est viril

Un bisou à la cannelle c'est charnel

Un bisou à la menthe ça me tente

Un bisou au saumon c'est bon

Un bisou au foie gras je vous en parle même pas

Un bisou sur les doigts au coca

Un bisou au gaspacho quand il fait chaud

Un bisou salé tout mouillé

Un bisou sur les lévres qui donne la fièvre

Un bisou d'aurevoir dans une gare

Mais un bisou de toi c'est pas pour moi j'en veux des millions des millards au parfum que tu voudras

parce que je me laisserais jamais tes baisers

même ceux du regard

ou de la voix

Je les aime tous tes bisous mon chou

même les plus étrange mon ange



marche pour INGRID

Marche blanche pour Ingrid ce dimanche
Ils seront vêtus de blanc. Tee-shirts, ballons, foulards ou fleurs... qu'importe l'artifice, du moment que la couleur soit respectée. Ce dimanche à 14 h 30, rendez-vous est pris dans les rues de Toulouse, à l'occasion de la marche pour la libération d'Ingrid Betancourt. Le départ se fera devant le Capitole à 15 h, pour un convoi qui devrait passer par la place Jeanne d'Arc, le boulevard Carnot et la place Wilson. Plus d'un millier de personnes sont attendues lors de cette manifestation de soutien à l'otage franco-colombienne retenue par la guérilla des Farc. « Des gens viendront de tout le Sud-Ouest, se réjouit Laurence Bolorinos, responsable du comité de soutien sur Toulouse. Les élus aussi se sont mobilisés. Des représentants du Tarn et de la Haute-Garonne seront dans le cortège. » Pour cette bénévole de la première heure, qui a monté le comité de soutien de Marseille en février 2002, cette mobilisation est positive. « Il y a encore peu, il était difficile de sensibiliser le public, poursuit-elle. Mais depuis une semaine, il y a une réelle écoute sur le sort d'Ingrid. » En signe d'espoir, un lâcher de ballon clôturera cette marche blanche.

Marseille Départ à 14H30. Rendez-vous devant l’Eglise des Réformés pour descendre la Canebière. Venez habillés de blanc

vendredi 4 avril 2008

ma famille et moi


petit montage photos mes parents , mes frères, ma belle soeur mes nièces mon neveu et moi